Alfa Romeo


Alfa Romeo Disco Volante  OVNI sur le départ


Exposé au dernier salon de Genève, le concept Alfa Romeo Disco Volante vient de se transformer en modèle de (toute petite) série. Mieux encore, le premier exemplaire de cette création du carrossier Touring s'aligne au Concours d'élégance de la Villa d'Este.
Le premier exemplaire de l'Alfa Romeo Disco Volante s'aligne au départ du Concours d'élégance de la Villa d'Este.
Avec les seules MiTo et Giulietta pour garnir son catalogue, Alfa Romeo n'est pas à la fête. Heureusement, la marque centenaire peut compter sur les carrossiers, aussi fidèles qu'inventifs. Touring, spécialiste des coques faites d'aluminium, vient d'enrichir le patrimoine automobile italien de sa Disco Volante, basée sur feue l'Alfa Romeo  8C . Et le moins qu'on puisse dire, c'est que la "soucoupe volante" porte bien son nom. À peine sorti du moule, le premier exemplaire de série n'a rien perdu de ses rondeurs, enrichies de quelques aspérités qui attirent irrémédiablement le regard. Le surnom et les proportions de cet OVNI de la route sont des clins d'œil à une autre étude du carrossier milanais, datant de 1952. Avec son look aérodynamique à tout prix et sa carrosserie très légère, l'ancêtre nommé C52 Disco Volante impressionnait déjà. Mais la nouvelle mouture y ajoute une mécanique puissante, déclinée d'un bloc Ferrari. Le V8 4.7 développe ainsi 450 ch, retransmis aux roues arrière via une boîte 6 séquentielle, installée juste devant le train arrière.
Touring ne modifie pas la technologie du Trèfle, mais la cache sous une robe taillée sur mesure, mêlant aluminium et plastiques renforcés de fibres de carbone. Un procédé innovant pour le carrossier, qui annonce un délai de six mois pour livrer sa soucoupe, si le client lui apporte une 8C comme donneuse d'organes. Le coût de l'opération n'est communiqué que sur demande, et la transformation entraîne, bien entendu, la disparition définitive d'une 8C. Ce qui est, en soi, un triste évènement. N'empêche, trois aficionados ont déjà craqué, et signé des chèques pour s'approprier une Alfa encore plus exclusive

L’Alfa Romeo 4C à Paris

Quand elle arrive en ville

Véritable star du dernier salon de Genève, l’Alfa Romeo 4C débarque à Paris. L’occasion pour ceux qui n’ont pu se rendre dans la capitale helvétique de faire connaissance avec la belle. Lorsqu’elle est descendue du camion, nous étions là.
Après le salon de Genève, l'Alfa Romeo 4C s'est offerte une virée à Paris, au Motor Village, situé au 2, rond-point des Champs Elysées. Nous étions là pour l'accueillir.

C’est sous bonne escorte que l’Alfa Romeo 4C a quitté l’anonyme camion, qui la transportait depuis Turin, pour son écrin de verre auMotorVillage  du 2, rond-point des Champs-Elysées. Car la belle italienne fait escale pour un week-end prolongé à Paris (jusqu’au premier avril), et c’est à L’Automobile Magazine qu’elle a accepté de faire les yeux doux pour quelques photos façon paparazzi.


Les artisans au salon de Genève 2013

Le cousu-main se porte bien

À Genève comme dans tous les principaux salons internationaux, les grands constructeurs ont tendance à tirer la couverture à eux. Mais le rendez-vous suisse demeure incontournable pour les artisans et carrossiers. Tour d'horizon.
Bertone, Touring Superleggera, Spyker, Alpina... s'il est un salon qui fait la part belle aux artisans de l'automobile, c'est bien celui deGenève . Proximité géographique oblige, les principaux carrossiers italiens y sont notamment représentés. Avec, bien souvent, des créations inédites. C'est le cas pour Pininfarina, qui expose sa spectaculaire barquette Sergio  sur base de Ferrari  458 , ou de Bertone, auteur de l'étude Jet II, un break sportif dérivé de l'Aston MartinRapide . Désormais propriété du groupe Volkswagen, Giugiaro a pu révéler son dernier concept, dénommé Parcour , en deux carrosseries, coupé et spyder. Alors que Touring a revisité son évocation moderne de l'Alfa Romeo Disco Volante (ci-contre) : présente sous forme de maquette il y a un an, elle est désormais pleinement fonctionnelle, grâce aux organes de la  8C . Elle peut même être fabriquée à la demande pour des clients fortunés.

Limitée à 25 exemplaires, cette Wiesmann GT MF4-CS se destine avant tout au circuit.

Un privilège que ne connaît pas encore la Peugeot RCZ  cabriolet (en bas) de Magna Steyr : avec son toit en toile qui coulisse le long d'arches fixes, elle sert surtout à rappeler le savoir-faire de l'équipementier autrichien. Mais Genève , c'est aussi le salon de la résurrection pour de petites marques qui ont frôlé la disparition. Après avoir failli sombrer en rachetant le navire Saab, le néerlandais Spyker compte sur la "petite" B6 Venator pour séduire un public plus large qu'auparavant. Pas d'actualité pourFisker  et Gumpert , mais ces deux constructeurs ont tenu à rappeler leur existence, même s'ils traversent une période tourmentée. Quant à Koenigsegg, la petite firme suédoise fête ses dix ans et sa centième voiture produite avec la Hundra, une Agera  à la robe carbone et or, alors que la spectaculaire Pagani Huayra (ci-contre) se contente d'adopter une nouvelle sono haut de gamme Sonus Faber.

Le toit en toile qui coulisse le long d'arches fixes évoque les Fiat 500C et Citroën DS3 Cabriolet. Ses avantages ? Permettre de conserver les petites places arrière et de contenir les coûts de production.

L'Allemagne n'est pas en reste, avec le préparateur-constructeur Alpina , qui s'est penché sur le berceau moteur des BMW  X3  et Série 3 , ou Wiesmann, qui propose la radicale GT MF4-CS (25 exemplaires, 1.320 kg, V8 420 ch de  M3 , image 4). Même la France et l'Espagne sont représentées : la première grâce à Exagon et sa séduisante sportive électrique Furtive e-GT (voir numéro 799  de L'Automobile Magazine, la seconde grâce à GTA qui ambitionne de produire la première supercar espagnole, la Spano (ci-contre), animée par un V10 de Viper  dopé par deux turbos pour atteindre 900 ch. En revanche, l'Angleterre ne fait pas vraiment honneur à la diversité de son paysage automobile. Certes, McLaren donne la réplique à LaFerrari  grâce à sa  P1  de 916 ch, et Aston Martin dévoile sa Rapide S, forte de 558 ch. Mais Morgan  et Noble se dispensaient de nouveautés, alors que Lotus  était encore absent, comme au Mondial . Inquiétant pour l'avenir de la firme créée par Colin Chapman.

Pas de grande nouveauté pour Pagani cette année, mais l'impressionnante Huayra mérite toujours un détour.

Alfa Romeo 4C

En livrée de série

Au printemps 2011, Alfa Romeo avait créé la surprise au salon de Genève, en dévoilant son concept de coupé sportif 4C. Une étude de style qui s'apprête à prendre la route, puisque sa version de production nous dévoile sa puissance et de nouvelles images, dont son habitacle.

La longueur de ce coupé est inférieure à 4 m.
Une compacte et une citadine : à l'heure actuelle, la gamme Alfa Romeo manque de glamour et de diversité. Heureusement, un troisième modèle sera disponible dès cette année, le coupé 4C. Présentée également à Genève , cette nouveauté se montre globalement fidèle aux promesses du concept homonyme, révélé deux ans auparavant. Même si quelques détails ont été édulcorés, comme les rétroviseurs, on retrouve des lignes galbées, des feux arrière ronds, des hanches marquées. Sans oublier des dimensions remarquablement compactes : moins de 4 m de long et 1,18 m de haut. Seule la largeur contraste, puisqu'elle approche les 2 m. Associé à un châssis un carbone, fabriqué dans l'usine Maserati de Modène, ce gabarit contenu devrait aider à annoncer un poids inférieur à une tonne, même si Alfa ne communique aucune valeur pour l'instant.
Elle préfère mettre en avant un autre chiffre cher aux amateurs de performances, celui du rapport poids-puissance, ici inférieur à 4 kg/ch. C'est mieux qu'une Porsche  911  Carrera, ce qui laisse présager de belles accélérations. Comme le quatre-cylindres 1750 Turbo à injection directe, qui sera installé en position centrale arrière, est ici fort de 240 ch, on peut affirmer que la masse totale reste inférieure à la tonne. Sorte de LotusElise  S à l'Italienne, la 4C se démarque tout de même de sa rivale anglaise par sa boîte à double embrayage TCT, seule transmission proposée. Elle aura également droit à une évolution du système DNA, qui agit sur la progressivité de l'accélérateur, la direction et d'autres paramètres. Il se dote ici d'un quatrième mode, "Race". Un appel à poser les pneus sur circuit, un exercice que cette biplace promet d'affectionner.


Alfa Romeo au salon de Francfort 2011

Le stand Alfa Romeo comme si vous y étiez

A Francfort comme à Genève, c'est la sportive 4C qui devrait aimanter les regards sur le stand Alfa Romeo. Mais la diva laissera de la place aux Mito et Giulietta, qui ont quelques nouveautés à présenter.
A Francfort comme à Genève, la sportive 4C est la star du stand Alfa Romeo.
Au salon de Francfort , le hall 8 est archi-dominé par le groupe Fiat, simplement accompagné de Hyundai. Alfa Romeo y figure en bonne place, avec un stand de 900 m2, soit à peine 100 m2 de moins que celui de la maison-mère. Et ceux qui n'ont pu se rendre à Genève  y auront droit à une séance de rattrapage, puisque la vedette sera à nouveau la  4C  (ci-dessous), une étude de sportive à moteur central. Toujours aussi aguichante, elle a revêtu une robe grise avant de se rendre en Allemagne, mais apporte également une mauvaise nouvelle : le report de sa commercialisation à 2013.

Le Concept 4C d'Alfa Romeo a troqué sa teinte rouge contre un gris

Pour se consoler, les Alfistes devront se tourner vers des nouveautés plus concrètes et plus raisonnables. La petite MiTo  (ci-dessous) profitera ainsi de deux nouvelles motorisations, un original bicylindre 0.9 turbo essence de 85 ch, emprunté à la Fiat  500 , et un diesel 1.3 JTDm de 85 ch. La compacte Giulietta  aura droit une boîte à double embrayage TCT, en combinaison avec le 1.4 Multiair essence de 170 ch et le diesel 2.0 JTDm de même puissance. En revanche, pas de trace de la familiale Giulia  : comme la 4C, la remplaçante de la  159  devrait se faire attendre jusqu'en 2013.

Pour le cru 2012, l'Alfa Romeo MiTo adopte aussi une nouvelle teinte carrosserie, nommée Nero Ametista.

Alfa Romeo MiTo TwinAir Turbo

La première Alfa bipède

La citadine sportive d’Alfa Romeo adopte un moteur bicylindre emprunté à la Fiat 500. Une hérésie pour les traditionalistes, certes, mais l'italienne s'annonce très sobre.
Pour le cru 2012, l'Alfa Romeo MiTo adopte aussi une nouvelle teinte carrosserie, nommée Nero Ametista.
La petite MiTo sacrifie deux de ses quatre cylindres sur l'autel de la chasse au CO2. Sa cousine Fiat 500 lui lègue son "deux-pattes" de 85 ch, un petit 0.9 TwinAir Turbo qui n'émet que 98 g/km, correspondant à une consommation de 4,3 litres aux 100 km. Ce bicylindre est muni d'un dispositif Stop & Start et développe un couple de 145 Nm… quand le mode Dynamique du système DNA, installé de série, est activé. Sinon, en mode Normal, il plafonne à 100 Nm pour mieux contenir sa soif. Un procédé qui se soldera sûrement par une perte de vigueur notable. L’arrivée de ce bicylindres turbo pose aussi la question de la pertinence des quatre-cylindres essence de 78 et 105 ch, moins coupleux et plus gourmands, au moins sur le papier. À terme, ces deux variantes pourraient, en effet, disparaître du catalogue, d'autant que le TwinAir sera bientôt porté à 105 ch.
Pour l'occasion, la petite italienne s'offre aussi de nouveaux revêtements et garnissages.
À l'autre extrémité de la gamme, la MiTo 1.4 TB 170 Quadrifoglio Verdea droit à une suspension pilotée développée en commun avec Magneti Marelli. Ce système est censé allier le confort à l'efficacité, en adaptant en permanence les lois d'amortissement, la gestion moteur, l'antidérapage électronique et la direction. Toutefois, les diesels ne sont pas en reste : la MiTo du cru 2012 propose également une nouvelle déclinaison du 1.3 JTDm, délivrant 85 ch et 200 Nm de couple. Il est, lui aussi, équipé de série d'un Stop & Start et d'une nouvelle injection. Avec 90 g de CO2/km, il bénéficie du bonus fiscal. Par ailleurs, l'intérieur de la petite Alfa se drape de nouveaux garnissages.

Alfa Romeo Test Drive Tour

Centre d'essais itinérant

Pouvoir essayer les dernières nouveautés de la gamme Alfa Romeo :C'est ce que vous propose le Test Drive Tour 2011, organisé par le constructeur dans 20 villes différentes.
A Francfort comme à Genève, la sportive 4C est la star du stand Alfa Romeo.L'Alfa Romeo Test Drive Tour reprend du service. Jusqu'à la fin de l'année, la marque italienne va se déplacer dans 20 villes françaises, pour faire essayer ses principaux modèles, du vendredi après-midi au dimanche soir. Avec trois versions différentes au programme, dont la sportive QV de 235 ch, la compacte Giuliettaest la star de cette édition 2011. Mais la familiale  159 est également de la partie, en berline comme en break, et vous pourrez vérifier si la dernière mise à jour apportée aux suspensions et à la direction de la petite MiTo donne enfin satisfaction. Chaque essai dure une trentaine de minutes et se déroule en présence d'un pilote instructeur. Pour vous inscrire ou obtenir davantage de renseignements : www.alfatestdrivetour.fr

Alfa Romeo Zagato TZ3

La TZ3 s'aligne au départ

À défaut de pouvoir espérer un avenir rayonnant, l'industrie automobile italienne célèbre son passé. Pour preuve, cet hommage rendu à Alfa Romeo par le carrossier Zagato.
Le duo Zagato TZ3 composé par la Corsa, une bête de course, et la Stradale, sa sœur destinée à la route, sort des salons mondains pour prendre la route.
Ferrari mis à part, l'industrie automobile cisalpine ne va pas bien. Malmenée par des choix stratégiques qui se sont révélés désastreux – on se souvient de l'alliance entre Fiat et General Motors – et souffrant d'un manque de moyens pour développer des voitures compétitives, elle vit une crise qui s'installe dans la durée. Heureusement, les passionnés de voitures italiennes peuvent compter sur les petites enseignes ! Pininfarina procède ainsi au massage cardiaque de Lancia avec sa New Stratos , tandis que Zagato insuffle de l'originalité à Fiat avec une 500 Coupé , et de la sportivité à Alfa Romeo, grâce à sa TZ3.
La Corsa fait appel à un V8 de 420 ch, alors que la Stradale hérite du V10 de la Dodge Viper, un 8,4 litres qui en développe 600 !
Ce duo composé par la Corsa, une bête de course, et la Stradale, sa sœur destinée à la route, sort des salons mondains pour prendre la route. La TZ3 restera toutefois un plaisir très exclusif. La Corsa se réserve même à un seul collectionneur, l'Allemand Martin Kapp, qui aura le plaisir de cravacher son V8 crédité de 420 ch. La Stradale, en revanche, s'apprête à donner naissance à une petite série de neuf exemplaires. Elle emprunte une plate-forme éprouvée bien en harmonie avec sa ligne bestiale, qui évoque les Giulia TZ des années 60 (voir en bas), des coupés à la poupe tronquée dédiés à la compétition : c'est en effet la Dodge Viper en personne qui prête ses entrailles à la Stradale, dont le fameux V10 initialement développé pour un utilitaire.
La plus américaine des Alfa Romeo prend toutefois soin d'envelopper cette énorme mécanique faite en fonte d'une robe légère portée près du corps, cousue de fibres de carbone qui plus est. En tout état de cause, un éventuel embonpoint devrait être effacé par les 600 ch et le couple de ce 8,4 litres. Il va de soi que le carrossier n'ait pas communiqué le prix des six unités qui restent à vendre

Alfa Romeo GT Cabrio

Découverte avortée

Cette GT Cabriolet n'est pas passée sous la scie-sauteuse d'un talentueux artisan-carrossier. Elle est bel et bien signée Bertone, comme le coupé. Mais Alfa Romeo lui a refusé le passage à la série.
Signée Bertone, comme le coupé, cette Alfa Romeo GT Cabrio n'a jamais atteint le stade de la série.
Depuis quelques mois déjà, il n'y a plus de cabriolet chez Alfa, hormis les derniers exemplaires de l'exclusive 8C. Dérivée de la Brera , la dernière mouture du Spider s'est éclipsée l'an passé, après quatre années d'une carrière effacée. Et la firme italienne nourrit peut-être quelques remords, car elle a enterré un autre projet de découvrable, qui aurait pu s'avérer plus profitable. Signé Bertone, cette GT Cabriolet reprend une base plus âgée, celle de la 156. Un handicap qui n'a pas empêché le coupé d'obtenir des ventes plus honorables que celles de la Brera, pourtant élaborée sur une plate-forme de  159 . Ses tarifs plus serrés n'y étant sans doute pas étrangers.
Ce cabriolet à capote en toile parvient à conserver une ligne plutôt fine et personnelle.
Autre avantage sur le Spider, qui n'était qu'une stricte biplace : cette découvrable aurait été capable d'accueillir jusqu'à cinq passagers, du moins en dépannage. Un argument supplémentaire pour contrer les BMWSérie 3 , Audi  A5 , Mercedes Classe E Cabriolet et autres décapotables quatre-places. Tout cela, en conservant une ligne plutôt fine et personnelle. Mais au final, c'est bien le Spider qui a été préféré. Au grand dam de la Carrozzeria Bertone, qui n'avait pas besoin de cette nouvelle, alors qu'elle traversait déjà de graves turbulences financières. Pour revoir un cabriolet Alfa, il faudra sans doute désormais patienter jusqu'au lancement d'une version Spider du coupé 4C (en bas), dévoilé à Genève au printemps dernier.

Mise à jour Alfa Romeo MiTo

Alfa décidé à rectifier le tir

Vous allez acheter une MiTo ? Il est urgent d’attendre ! La marque italienne refait (pour la deuxième fois !) les suspensions de sa citadine, afin de faire face aux critiques incessantes.
Habillée d'un plastique moussé imitant le carbone tressé de la 8C, la MiTo présente très correctement. Même si, ailleurs, les plastiques durs restent omniprésents. Seules les françaises font mieux.
Au détour d’une conversation au salon de Genève , Harald Wester, le nouveau patron d’Alfa Romeo, d’Abarth et de Maserati, nous a avoué que, depuis mars, des évolutions étaient appliquées aux suspensions et à la direction de la MiTo . Enfin une réponse à nos critiques … Les suspensions qui souffraient jusqu’alors d’un amortissement à la fois trop sec sur les petites déformations, et trop mou sur les gros défauts, laissant l’avant doté de ressorts trop souples se râper le spoiler au moindre ralentisseur, reçoivent désormais des amortisseurs à deux clapets, dont le typage se rapproche de celui de la Giulietta , offrant un bien meilleur confort sans sacrifier l’efficacité.
Doux regard et rondeurs suaves : la MiTo est une séductrice.
Quant à la direction à assistance électrique, ses nouveaux réglages visent à diminuer le flou autour du point zéro et atténuer les variations de consistance lors des braquages, qui rendaient impossible la perception de l’adhérence et dégradaient fortement l’agrément de conduite. Toutefois, Harald Wester nous a avoué que pour obtenir une direction totalement satisfaisante, il aurait fallu changer davantage de chose qu’un simple logiciel. Ce qui sera fait sur la prochaine génération de MiTo. Nous attendons donc avec impatience de pouvoir essayer au plus vite ces modifications. Conclusion : si vous commandez une MiTo avant nos nouveaux essais, assurez-vous au moins que celle qui vous sera livrée est bien une version fabriquée après le 1er mars 2011.

Alfa Romeo au Mondial 2010

Qui va piano, va sano

Chahuté par le rapprochement entre le groupe Fiat et de Chrysler, Alfa Romeo affiche un certain retard dans le développement de sa gamme. Le stand sera placé sous le signe de la rationalité.
Malgré sa longueur respectable pour une compacte (4,35 m), la Giulietta n'offre qu'une habitabilité moyenne, surtout aux places arrière.
Les projecteurs seront braqués sur la Giulietta qui accueille un nouveau bloc diesel 2.0 JTDM-2 de 140 ch, ainsi qu'une boîte de vitesses automatique à double embrayage Alfa TCT. Pour l'heure, ce mode de transmission reste l'apanage du 1.4 MultiAir, puis il s'associera aussi à la Giulietta 2.0 JTDM de 170 ch et à la MiTo  Distinctive. Là, les alfistes ne manqueront pas non plus d'admirer la  159 du millésime 2011, dont la dotation est enrichie. Pour l'occasion, elle se montrera dans sa livrée Rouge Competizione, ainsi que dans sa nouvelle déclinaison 2.0 JTDM-2 à 136 ch. 
Hall 1 – Allée A – Stand 140 (voir plan en bas) 



Alfa Romeo au Mondial 2010

Alfa Romeo MiTo TCT

Le cercle s'élargit

Les citadines du groupe VW ne sont plus les seules à profiter d'une boîte à double embrayage, car l'Alfa Romeo MiTo peut désormais aussi recevoir une telle transmission, baptisée TCT.
Au volant, on s'attend à ce qu'une Alfa soit source de vrai plaisir. Avec la MiTo, on en manque.
Apparue en 2003, sur la première génération d'Audi  TT , la technologie de la boîte à double embrayage continue à se généraliser. Elle arrive désormais dans le groupe Fiat, sur l'Alfa Romeo MiTo 1.4 MultiAir 135. baptisée TCT (Twin Clutch Technology), cette transmission à double embrayage se "contente" de six rapports, contrairement à la DSG des Volkswagen Polo , Seat Ibiza et Skoda Fabia . En revanche, elle profite également d'un système Stop & Start et d'embrayages à sec, moins gourmands en énergie que des systèmes à bain d'huile. Les consommations sont ainsi inférieures à celle de la version à boîte manuelle : 5,5 l/100 km au lieu de 5,6, ce qui correspond à 126 g/km de CO2 au lieu de 129. La MiTo TCT rate cependant le bonus de 100 €, in extremis.
L'Alfa Romeo MiTo peut désormais recevoir une inédite boîte à double embrayage et six rapports, baptisée TCT (Twin Clutch Technology).
Supportant un couple supérieur (206 au lieu de 230 Nm en mode Dynamic), cette variante serait aussi plus performante que la déclinaison dotée d'une boîte mécanique à cinq rapports. Le 0 à 100 km/h est ainsi effectué en 8,2 s au lieu de 8,4. Des progrès qui se font payer : disponible dès maintenant, l'Alfa Romeo MiTo 1.4 MultiAir 135 TCT réclame 1.750 € de plus que la version manuelle. Un surcoût légèrement supérieur à ceux pratiqués dans le groupe VW, mais les palettes au volant sont ici fournies de série. En finition Selective, le prix débute dès lors à 20.550 € au lieu de 18.800 €. Cette transmission débarquera ensuite sur les Giulietta et FiatPunto Evo .
D'accord, une Alfa doit être sportive. Mais entre l'inconfort des suspensions et les sifflements d'air, il y a vraiment matière à progresser sans pour autant en faire une voiture fade à conduire.

Prix Alfa Romeo Giulietta

Aux portes du premium

Au bout de dix ans de carrière, la 147 s'est enfin trouvée une remplaçante. Si le nom Giulietta est une évocation d’un modèle qui fit sensation dans les années 50, son tarif rappelle les productions allemandes, Audi A3 et BMW Série 1 en tête.
Comme sa devancière, l'Alfa Romeo Giulietta intègre ses poignées arrière dans les montants. Mais sa ligne générale évoque davantage celle de la MiTo.
Dès le mois de mai, l'Alfa Romeo Giulietta envahit les concessions aux quatre coins de la république. Sa production est fixée à 100.000 exemplaires par an. Autant dire qu’Alfa Romeo France compte beaucoup sur ce modèle pour relancer ses ventes, actuellement portées à bout de bras par l’unique MiTo . Mais si la  147 s’est vendue à raison de 110.000 exemplaires par an, en Europe, au début des années 2000, les temps ont changé, et l’offre de compactes est aujourd’hui plus que pléthorique. Les prix de la Giulietta, qui débutent à 21.500 € en essence et 23.750 € en diesel (voir tableaux en bas), sont un peu supérieurs à ceux des constructeurs généralistes. Reste à espérer que le petit parfum de premium qu’elle distille fera passer la pilule.
Version
Prix
Puis. 
admin.
Emissions 
CO2
Bonus/ 
malus (2010)
Essence
Prix Alfa Romeo Giulietta 
1.4 Tjet 120 ch Start&Stop Impulsive
21.500 €
7 CV
149 g/km
0
Prix Alfa Romeo Giulietta 
1.4 Tjet 120 ch Start&Stop Distinctive
23.250 €
7 CV
149 g/km
0
Prix Alfa Romeo Giulietta 
1.4 MultiAir 170 ch Start&Stop Distinctive
26.000 €
9 CV
137 g/km
0
Prix Alfa Romeo Giulietta 
1.4 MultiAir 170 ch Start&Stop Selective
28.500 €
9 CV
137 g/km
0
Prix Alfa Romeo Giulietta 
1750 TBi Quadrifoglio Verde
32.500 €
14 CV
177 g/km
+750 €
Diesel
Prix Alfa Romeo Giulietta 
1.6 JTDM 105 ch Start&Stop Impulsive
23.750 €
5 CV
114 g/km
-500 €
Prix Alfa Romeo Giulietta 
1.6 JTDM 105 ch Start&Stop Distinctive
25.500 €
5 CV
114 g/km
-500 €
Prix Alfa Romeo Giulietta 
1.6 JTDM 105 ch Start&Stop Selective
28.000 €
5 CV
114 g/km
-500 €
Prix Alfa Romeo Giulietta 
2.0 JTDM 170 ch Start&Stop Distinctive
29.250 €
9 CV
128 g/km
0
Prix Alfa Romeo Giulietta 
2.0 JTDM 170 ch Start&Stop Selective
31.750 €
9 CV
128 g/km
0

Alfa Romeo Giulietta

Elle s'appellera bien Giulietta

Depuis plusieurs mois, la nouvelle compacte Alfa Romeo cherche à fuir les photographes-espions. Avec plus ou moins de succès. Mais cette fois, fini de jouer : la Giulietta révèle enfin sa première photo officielle, et elle confirme même son nom de baptème, après quelques atermoiements.
Comme sa devancière, l'Alfa Romeo Giulietta intègre ses poignées arrière dans les montants. Mais sa ligne générale évoque davantage celle de la MiTo.
Enfin ! Après plus de neuf ans de carrière, la  147 s'apprête à passer le flambeau. Sa remplaçante s'est en effet décidée à révéler sa première photo officielle. Mais la commercialisation n'aura pas lieu avant le printemps prochain, dans la foulée de sa première apparition en public, au salon de Genève . Et la présentation de cette compacte ne s'est pas faite sans péripéties : si Alfa Romeo avait initialement décidé de l'appeler Milano, un changement de dernière minute est venu mettre à mal ce choix. Ce nom aurait en effet été mal perçu par des employés du site de la marque à Milan, où un plan social est en préparation. La compacte au Trèfle va donc adopter un patronyme moins sujet à polémique : celui de Giulietta, en hommage aux célèbres modèles des années 50 et 70
Les feux arrière à diodes de cette troisième génération de Giulietta adopent une forme très étirée.
Côté style, la nouvelle Alfa Romeo reprend l'un des traits marquants de sa devancière : ses poignées arrière intégrées dans les montants. En revanche, la ligne générale s'inspire davantage de la petite  MiTo . Et adresse quelques clins d'oeil à la 8C Competizione : contrairement aux autres Alfa Romeo grand public, la Giulietta pourra d'ailleurs arborer la couleur "Rosso Competizione" de cette sportive très exclusive. Mais les similitudes s'arrêtent là. Très raisonnable, la compacte au Trèfle est une traction avant, bâtie sur une nouvelle plate-forme baptisée "C-Evo". Emprunté à la MiTo, son système DNA permettra de régler l'assistance de direction, la réponse de l'accélérateur ou encore le calibrage du différentiel électronique Q2. Bien plus imposante que la 147 (4,35 m), la Giulietta devrait offrir une habitabilité plus généreuse que sa devancière. Elle annonce aussi un volume de coffre en progrès (350 dm3). En revanche, aucune déclinaison trois-portes ne sera proposée cette fois-ci.
En option, la compacte au Trèfle pourra adopter ces sièges cuir au dessin très rétro.
Quant aux mécaniques, elles feront toutes appel au turbo. En essence, au lancement, la gamme s'étendra ainsi du 1.4 T-jet de 120 ch à l'innovant 1.4  Multiair de 170 ch. En attendant une hypothétique version GTA, les sportifs se réjouiront de l'arrivée ultérieure d'une Giulietta Quadrifoglio, animée par le 1750 TBI de la future MiTo GTA . Le diesel n'est évidemment pas oublié. La palette de motorisations comprend ici le 1.6 JTDMm de 105 ch et le récent 2.0 JTDM de 170 ch, apparu sur les  159 , Brera , Spider . Un choix de mécaniques qui semble suffisamment varié pour venir inquiéter les BMW Série 1 , Audi  A3 , Volvo  C30 et la future compacte Lexus qui pourrait se nommer  BS .
Le tableau de bord s'habille généreusement d'aluminium.

Alfa Romeo 159

Deux nouveaux cœurs pour la 159

Toujours aussi séduisante, la familiale Alfa Romeo n'est cependant plus toute jeune. Mais au prochain salon de Genève, elle s'offrira une greffe de cœur, avec l'arrivée de deux nouveaux moteurs.
Pour le salon de Genève, l'Alfa Romeo 159 s'offre deux nouveau quatre-cylindres, donc un inédit 1750 TBi essence de 200 ch.
Née en 2005, l'Alfa Romeo 159 n'a évolué que discrètement depuis sa sortie. Mais au prochain salon de Genève, il y aura du nouveau : la belle italienne accueillera deux mécaniques inédites sous son capot. En essence, elle recevra un 1.8 Turbo à injection directe de 200 ch, qui vient s'intercaler entre le 2.2 JTS de 185 ch et le V6 de 260 ch. Baptisée 159 1750 TBi, cette version renoue ainsi avec la cylindrée des Alfa Romeo 1750, nées dans les années 60. Avec une distribution variable et un couple de 320 Nm, disponible dès 2.000 tr/mn, les performances seront cependant bien modernes : le 0 à 100/km est ainsi effectué en 7,7 s. De plus, cette familiale se "contentera" d'un malus de 750 € (189 g/km de CO2), alors que le 2.2 JTS écope de 1.600 € et le V6 de 2.600 €. Ce moteur équipera aussi le coupé Brera et le Spider , dès le mois de juin.
Née en 2005, la 159 traverse les années sans prendre une ride.
Les inconditionnels du gazole ne sont pas oubliés. La 159 adopte un nouveau 2.0 JTDm de 170 ch, fort de 360 Nm de couple. Dérivé du 1.9 JTDm 150, qui devrait rester au catalogue, ce quatre-cylindres reçoit un nouveau turbo à géométrie variable. Les performances progressent ainsi, avec un 0 à 100 km/h annoncé en 8,8 s, tandis que les émissions de CO2 diminuent, passant de 157 g/km à 136 g/km sur l'inédite version Eco (142 pour les autres variantes). Le malus reste cependant inchangé. Tout comme l'esthétique, toujours aussi sublime. La 159 est donc à nouveau parée pour patienter jusqu'à l'arrivée de sa remplaçante, qui ressuscitera le nom d'Alfa Romeo Giulia 

Polémique Alfa Romeo MiTo

Mito, il est urgent d'attendre...

... avant de l'acheter. En effet, si Alfa Romeo reconnaît les désagréments dans la direction de sa Mito et son inconfort notoire, décidant d'ailleurs de corriger ces points sur les chaînes de montage, rien n’est actuellement prévu pour les exemplaires déjà livrés. Consternant.
Postérieur rebondi : cette MiTo sait attirer les regards, mais la mise au point déçoit.
 suite aux critiques de nos essayeurs, le responsable du développement d’Alfa Romeo reconnaissait les problèmes de mise au point de la Mito, par manque de temps et de moyens. Il acceptait alors de nous dévoiler en exclusivité son programme de remise à niveau en usine.

Direction assistée  : changement de la crémaillère, du moteur d’assistance et du logiciel du calculateur.
Trains roulants  : remplacement des amortisseurs, plus fermes à l’avant et moins durs à l’arrière.

Superbes la nuit, les compteurs signalent ici une panne de direction assistée et des défaillances de surveillance de la pression des pneus.


Mais quid des modèles déjà mis en circulation ? Aujourd'hui, Alfa Romeo annonce que rien n'est prévu. Tout le contraire de ce qui nous avait été dit précédemment. Evidemment, à L’Automobile Magazine, nous ne comprenons pas et désapprouvons ce revirement. C'est, en effet, faire bien peu cas des 2.200 clients français qui, depuis septembre 2008, ont déjà succombé au look de la starlette et se sont vus livrer une Mito à la mise au point plus que perfectible. Nous renouvelons donc notre mise en garde sur un achat précipité de la petite italienne. Les ultimes modifications (crémaillère et moteur d'assistance) n'intervenant qu'au printemps, nous ne saurions trop vous conseiller de geler votre commande jusqu'à l'arrivée de ces Mito remises à niveau.

Alfa Romeo Brera TI

Encore plus italienne

Le coupé Alfa déterre la hache de guerre. Une nouvelle finition sport se présente sous l'appellation Brera TI, pour Tourisme International. Un sigle historiquement associé par la marque aux versions les plus musclées de ses modèles de série.
La Brera TI, pour Tourisme International, finition sport du coupé Italien, présente des jantes très inspirées de celles de la 8C Competizione.
On le sait, la marque italienne tient fort à soigner son image "sport". Fidèle à ce principe, la Brera TI, présentée au Mondial et commercialisé dès cet automne, n'apportera pas de nouveau moteur, mais une plastique des plus agressives. A commencer par des jantes inédites, très inspirées de la 8C Competizione , arborant des roues 19 pouces, pour lesquels les suspensions ont été spécialement calibrés et les freins entièrement revus, avec des disques surdimensionnés et des étriers avant Brembo.
Console centrale et moulure de volant en alu brossé, cuir, surpicures rouges, combiné de compteurs à éclairage blanc : difficile de s'y tromper, on est bien dans une
Le plus important reste à l'intérieur. On y retrouve les changements classiques des voitures GTI : sièges sport en cuir siglés TI, combiné de compteurs embelli, volant et pommeau de levier de vitesse spécifiques et pédalier alu. Mais aussi une console centrale en alu brossé ou, optionnellement, en fibre de carbone. Climatiseur bizone et système de stabilité VDC font leur entrée dans les équipements de série. L'Alfa Romeo Brera TI ne sera, dans un premier temps, disponible qu'avec le quatre-cylindres 2.2 JTS de 185 ch et le V6 3.2 de 260 ch. Alors qu'il faudra attendre l'année prochaine pour le cinq-cylindres 2.4 JTDM de 210 ch. Comptez 2.900 € pour profiter du Pack TI sur la version 2.2 JTS et 1.600 € sur une Brera 3.2.

Alfa Romeo MiTo Spider

La confirmation

C'est décidé, l'Alfa Romeo MiTo perd la tête. En effet, une variante Spider enrichira la gamme au Trèfle, pour le plus grand bonheur des amateurs d'air frais. La MiTo Spider devrait être présentée au salon de Francfort, en 2009, pour une commercialisation en 2010.
A l'image de la Mini, la MiTo se déclinera en cabriolet, aussi. Le découvrable sera commercialisé dès 2010.
Sous la houlette du président Luca de Meo, la direction de la marque turinoise hésitait entre un roadster biplace façon Duetto et un petit cabriolet à quatre places. Selon une source proche du dossier, c'est cette dernière option qui a été retenue. Une décision recevable quand on compare les résultats de l'Opel Tigra (totalisant 515 ventes durant les sept premiers mois de l'année), privée de banquette, à ceux de la Peugeot 207 CC(5.713 unités), qui offre deux places d'appoint à l'arrière. Contrairement à la Lionne, l'Alfa aura cependant une capote souple.
Les suspensions de la MiTo sont intransigeantes sur revêtement dégradés.
Comme la variante trois-portes (ci-contre), la MiTo Spider sera basée sur la plateforme de la Fiat Grande Punto . Elle s'alignera au départ avec un 1.4 Turbo essence de 155 ch et un turbodiesel 1.6 de 120 ch. Pour sa variante GTA, un quatre-cylindres 1.8 turbo de 230 ch est au programme. De série, la petite décapotable entraînera ses roues avant via un différentiel à glissement limité, afin d'optimiser la motricité. La MiTo Spider devrait être dévoilée au salon de Francfort 2009 , et investir les concessions de la marque au printemps 2010.
Habillée d'un plastique moussé imitant le carbone tressé de la 8C, la MiTo présente très correctement. Même si, ailleurs, les plastiques durs restent omniprésents. Seules les françaises font mieux.

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