Ferrari 458 Scuderia : 120 kg de moins
Ferrari n'a toujours pas donné d'informations officielles sur la future 458 Scuderia, que les rumeurs continuent de faire le tour de la Toile. Les dernières en date proviennent des Anglais de chez Autoexpress avec de plus amples détails sur sa fiche technique.
Si l'on connait la puissance théorique de cette Ferrari 458 Scuderia (ou Monte-Carlo) qui devrait osciller entre 600 et 620 ch, le magazine britannique annonce que la berlinette sera plus légère de 120 kg, soit une masse totale de 1 365 kg. Avec son régime, la 458 fait tomber son ratio à 2,275 kg/ch en configuration 600 ch, soit 0,474 kg/ch de mieux que la F430 Scuderia.
La carrosserie, le châssis, l'électronique et la sonorité de l'échappement recevront eux aussi leur lot de modifications.
Ferrari n'a toujours pas donné d'informations officielles sur la future 458 Scuderia, que les rumeurs continuent de faire le tour de la Toile. Les dernières en date proviennent des Anglais de chez Autoexpress avec de plus amples détails sur sa fiche technique.
Si l'on connait la puissance théorique de cette Ferrari 458 Scuderia (ou Monte-Carlo) qui devrait osciller entre 600 et 620 ch, le magazine britannique annonce que la berlinette sera plus légère de 120 kg, soit une masse totale de 1 365 kg. Avec son régime, la 458 fait tomber son ratio à 2,275 kg/ch en configuration 600 ch, soit 0,474 kg/ch de mieux que la F430 Scuderia.
La carrosserie, le châssis, l'électronique et la sonorité de l'échappement recevront eux aussi leur lot de modifications.
Si l'on connait la puissance théorique de cette Ferrari 458 Scuderia (ou Monte-Carlo) qui devrait osciller entre 600 et 620 ch, le magazine britannique annonce que la berlinette sera plus légère de 120 kg, soit une masse totale de 1 365 kg. Avec son régime, la 458 fait tomber son ratio à 2,275 kg/ch en configuration 600 ch, soit 0,474 kg/ch de mieux que la F430 Scuderia.
La carrosserie, le châssis, l'électronique et la sonorité de l'échappement recevront eux aussi leur lot de modifications.
Vossen équipe une Ferrari 458
L'équipementier américain Vossen lance une nouvelle gamme de jantes baptisées "Precision Series", et quel meilleur écrin pour les mettre en scène qu'une Ferrari 458 ?
C'est sur les routes de Floride, état où se situe le préparateur, que nous retrouvons la belle Italienne. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'on dirait plus un spot publicitaire pour la 458 que pour ses jantes ! Mais les images sont belles, on peut profiter de la mélodie du V8 et il faut avouer qu'ainsi chaussée, la berlinette n'en devient que plus désirable. On ne va donc pas se plaindre.
Je vous laisse découvrir par vous même le résultat. Et vous en pensez quoi justement du résultat?
C'est sur les routes de Floride, état où se situe le préparateur, que nous retrouvons la belle Italienne. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'on dirait plus un spot publicitaire pour la 458 que pour ses jantes ! Mais les images sont belles, on peut profiter de la mélodie du V8 et il faut avouer qu'ainsi chaussée, la berlinette n'en devient que plus désirable. On ne va donc pas se plaindre.
Je vous laisse découvrir par vous même le résultat. Et vous en pensez quoi justement du résultat?
Une Ferrari FXX sauvée des eaux !
Zahir Rana n'est pas un pilote professionnel, mais un "simple" concessionnaire automobile spécialisé dans les voitures de luxe. C'est peut-être la raison pour laquelle son infortunée Ferrari FXX(homologuée pour la route par le préparateur EDO compétition), avait terminé dans l'eau lors du rallye Targa Newfoundland en 2011.
Heureusement son riche propriétaire a pu la renvoyer en Allemagne pour (grosses) réparations. Profitant que les petites mains du préparateur s'affairaient sur son bolide, le sieur Rana leur a demandé d'en remettre une petite lichette.
Aussi difficile que soit l'amélioration d'un modèle déjà si pointu, ils ont relevé le défi. Le résultat est stupéfiant : plus de 900 ch sont désormais extraits du V12 atmosphérique, dont le rupteur a été repoussé à 10 000 tours par minute. Vitesse maximale ? Plus de 390 Km/h...
Heureusement son riche propriétaire a pu la renvoyer en Allemagne pour (grosses) réparations. Profitant que les petites mains du préparateur s'affairaient sur son bolide, le sieur Rana leur a demandé d'en remettre une petite lichette.
Aussi difficile que soit l'amélioration d'un modèle déjà si pointu, ils ont relevé le défi. Le résultat est stupéfiant : plus de 900 ch sont désormais extraits du V12 atmosphérique, dont le rupteur a été repoussé à 10 000 tours par minute. Vitesse maximale ? Plus de 390 Km/h...
Deux Ferrari ex-Schumacher à vendre
Si vous êtes fan de Michael Schumacher, que vous cherchez un véhicule haut de gamme et que vous êtes en fonds, nous avons peut être la voiture qu'il vous faut. Le concessionnaire Garage Zénith, spécialiste de la voiture de luxe, propose en effet à la vente deux superbes Ferrari ayant appartenu au septuple Champion du Monde allemand !
Durant le long bail qui le vit associé à Ferrari, Michael Schumacher ne s'est pas contenté d'enchaîner les titres mondiaux au volant des F1 de Maranello, il en a aussi profité pour faire l'acquisition de quelques uns des plus beaux modèles produits par la marque au cheval cabré.
Deux de ces modèles, une Enzo et une FXX, se retrouvent aujourd'hui sur le marché de l'occasion. Et si la première, affichant 8 500 km au compteur, vaut surtout par les nombreux autographes visibles sous son capot – dont celui de Luca di Montezemolo -, la seconde est relativement plus rare.
Équipée du bloc V12 6.3l développant 790 ch, cette FXX est en effet le seul des 30 exemplaires produits à arborer une livrée noire. Par ailleurs utilisée quasi exclusivement sur circuit, d'où son faible kilométrage (900 km), on a pu l'apercevoir dans l'émission britannique Top Gear en 2009 aux mains du « Stig ».
Si vous êtes intéressés par l'un ou l'autre de ces modèles, sachez qu'il vous faudra débourser 1 120 000 € pour faire l'acquisition de la Ferrari Enzo, et 2 034 000 € pour disposer de la FXX
Durant le long bail qui le vit associé à Ferrari, Michael Schumacher ne s'est pas contenté d'enchaîner les titres mondiaux au volant des F1 de Maranello, il en a aussi profité pour faire l'acquisition de quelques uns des plus beaux modèles produits par la marque au cheval cabré.
Deux de ces modèles, une Enzo et une FXX, se retrouvent aujourd'hui sur le marché de l'occasion. Et si la première, affichant 8 500 km au compteur, vaut surtout par les nombreux autographes visibles sous son capot – dont celui de Luca di Montezemolo -, la seconde est relativement plus rare.
Équipée du bloc V12 6.3l développant 790 ch, cette FXX est en effet le seul des 30 exemplaires produits à arborer une livrée noire. Par ailleurs utilisée quasi exclusivement sur circuit, d'où son faible kilométrage (900 km), on a pu l'apercevoir dans l'émission britannique Top Gear en 2009 aux mains du « Stig ».
Si vous êtes intéressés par l'un ou l'autre de ces modèles, sachez qu'il vous faudra débourser 1 120 000 € pour faire l'acquisition de la Ferrari Enzo, et 2 034 000 € pour disposer de la FXX
Une Ferrari 275 GTB/4 Spyder aux enchères
La maison de vente aux enchères RM Auctions proposera en juillet prochain, à l'occasion du Concours d'Élégance de Pebble Beach, en Californie, une rare Ferrari 275 GTB/4 N.A.R.T Spyder dont les bénéfices de la vente reviendront, et c'est assez rare pour le souligner, à des associations caritatives.
Ce châssis n°10709 est l'un des dix exemplaires produits de la GTB/4 N.A.R.T Spyder et figure parmi les plus prisés avec son faible kilométrage et son histoire unique. Son propriétaire, l'homme d'affaires américain Eddie Smith Sr, se déplaça à Maranello en 1967 pour en prendre possession en compagnie de son ami et pilote Luigi Chinetti.
Depuis, cette GTB/4 N.A.R.T Spyder équipée d'un V12 de 330 ch n'a jamais quitté la famille de Mr Smith Sr, dont l'héritier a récemment décidé de procéder à sa vente et de reverser les bénéfices à différentes associations caritatives, marchant ainsi dans les pas d'un père rendu célèbre pour sa philanthropie.
« En prenant la décision de vendre la GTB/4 N.A.R.T, nous voulions faire quelque chose qui aurait donné le sourire à mon père », a expliqué Eddie Smith Jr. « Il a possédé nombre de Ferrari et pour de bonnes raisons, il les a aimées et a aimé en faire profiter les amateurs de belles voitures ».
Aucune estimation n'a été avancée pour cette GTB/4 N.A.R.T Spyder.
Ce châssis n°10709 est l'un des dix exemplaires produits de la GTB/4 N.A.R.T Spyder et figure parmi les plus prisés avec son faible kilométrage et son histoire unique. Son propriétaire, l'homme d'affaires américain Eddie Smith Sr, se déplaça à Maranello en 1967 pour en prendre possession en compagnie de son ami et pilote Luigi Chinetti.
Depuis, cette GTB/4 N.A.R.T Spyder équipée d'un V12 de 330 ch n'a jamais quitté la famille de Mr Smith Sr, dont l'héritier a récemment décidé de procéder à sa vente et de reverser les bénéfices à différentes associations caritatives, marchant ainsi dans les pas d'un père rendu célèbre pour sa philanthropie.
« En prenant la décision de vendre la GTB/4 N.A.R.T, nous voulions faire quelque chose qui aurait donné le sourire à mon père », a expliqué Eddie Smith Jr. « Il a possédé nombre de Ferrari et pour de bonnes raisons, il les a aimées et a aimé en faire profiter les amateurs de belles voitures ».
Aucune estimation n'a été avancée pour cette GTB/4 N.A.R.T Spyder.
A saisir: trois Ferrari pour 6 millions $
Passionné d'automobile ? Désireux de débuter une collection ? Une préférence pour le rouge ? Le concessionnaire américain « Ferrari of New England » basé à Norwood, dans le Massachusetts, a ce qu'il vous faut : un lot de trois Ferrari d'exception contre un chèque de 6 millions de dollars - 4.5 millions d'euros -.
Ce spécialiste de la marque au cheval cabré propose en effet à la vente une Ferrari F40 de 1990, une F50 de 1995 et une Enzo millésime 2003 en spécifications US. Un assortiment pour le moins exceptionnel quand on connaît le caractère exclusif de chacun de ces modèles et le soin apporté à leur développement par Maranello.
La F40 équipée d'un V8 biturbo de 478 ch est un des derniers modèles sortis des ateliers de Maranello en 1990, tandis que la F50 est un des sept exemplaires produits – sur 349 – à disposer de la robe « Rosso Corsa ». Également inspirée de la technologie F1, la Ferrari Enzo est enfin la plus puissante des trois avec son V12 développant 660 ch.
Les trois véhicules sont en parfait état et vous comprendrez mieux pourquoi en jetant un œil sur leur compteur kilométrique : la première nommée ne totalise que 325 kms et les deux autres respectivement 370 kms et 440 kms !
Ce spécialiste de la marque au cheval cabré propose en effet à la vente une Ferrari F40 de 1990, une F50 de 1995 et une Enzo millésime 2003 en spécifications US. Un assortiment pour le moins exceptionnel quand on connaît le caractère exclusif de chacun de ces modèles et le soin apporté à leur développement par Maranello.
La F40 équipée d'un V8 biturbo de 478 ch est un des derniers modèles sortis des ateliers de Maranello en 1990, tandis que la F50 est un des sept exemplaires produits – sur 349 – à disposer de la robe « Rosso Corsa ». Également inspirée de la technologie F1, la Ferrari Enzo est enfin la plus puissante des trois avec son V12 développant 660 ch.
Les trois véhicules sont en parfait état et vous comprendrez mieux pourquoi en jetant un œil sur leur compteur kilométrique : la première nommée ne totalise que 325 kms et les deux autres respectivement 370 kms et 440 kms !
Le moteur de la F12berlinetta primé
Si les 87 journalistes qui composaient cette année le jury de « l'International Engine of the Year » ont rendu leur verdict et élu le Ford 3 cylindres 1.0l Ecoboost moteur de l'année, Ferrari a remporté celui du moteur le plus performant avec son V12 6.3l.
Pour la deuxième année consécutive, le moteur Ford 3 cylindres 1.0l Ecoboost a rassemblé un maximum de suffrages, et remporté haut la main le prix de meilleur moteur de l'année 2013 loin devant le 1.4 TSI de Volkswagen.
Mais les amateurs de grosse cavalerie noteront plus sûrement le prix de moteur le plus performant de l'année accordé à Ferrari pour son V12 6.3l embarqué dans la F12berlinetta.
Développant plus de 740 ch, cette motorisation offre à la marque au cheval cabré son troisième succès consécutif dans la catégorie des plus de quatre cylindres. La firme de Maranello a en effet déjà remporté ce prix en 2011 et 2012 avec son V8 4.5l, lequel se classe encore deuxième cette année devant le bloc V8 5.5l Mercedes AMG.
On notera enfin dans la catégorie 3 à 4 litres la première place du V8 3.8l biturbo McLaren qui équipe la toute nouvelle P1.
Vente record pour une Ferrari 340/375 MM
La vente aux enchères organisée ce week-end au concours d'élégance de la Villa Erba, près de Cernobbio en Italie, a vu RM Auctions réaliser un chiffre de ventes de 27,5 millions d'euros. Un résultat facilité par le record établi avec une Ferrari 340/375 MM Pininfarina Berlinetta « Competizione » de 1953, adjugée pour près de dix millions d'euros !
Présentée au salon Rétromobile 2013, cette Ferrari 340/375 MM équipée d'un bloc V12 4.5 est l'un des trois exemplaires « usine » construits en 1953 par la marque au cheval cabré. Elle fut pilotée à l'époque par Roberto Ascari, Giuseppe Farina ou encore Mike Hawthorn, et brilla notamment à la « Carrera Panamericana » dès sa première saison en compétition.
Cette Ferrari 340/375 MM carrossée par Pininfarina a été adjugée ce samedi à la Villa Erba pour 9 856 000 €, se plaçant loin devant les trente huit autres lots présentés ce jour par RM Auctions.
Ferrari a par ailleurs monopolisé les faveurs des enchérisseurs, puisque pas moins de neuf véhicules issus des usines de Maranello trustent les dix premières places de cette vente, où seule une Mercedes-Benz 300 SL Roadster de 1962 – vendue 1 114 400 € - a réussi à se glisser.
Le podium de ces enchères était complété par une Ferrari 400 Superamericana SWB de 1962 vendue 2 184 000 €, devant une Ferrari 275 GTB de 1965 pour laquelle le meilleur enchérisseur a proposé 1 120 000 €.
Présentée au salon Rétromobile 2013, cette Ferrari 340/375 MM équipée d'un bloc V12 4.5 est l'un des trois exemplaires « usine » construits en 1953 par la marque au cheval cabré. Elle fut pilotée à l'époque par Roberto Ascari, Giuseppe Farina ou encore Mike Hawthorn, et brilla notamment à la « Carrera Panamericana » dès sa première saison en compétition.
Cette Ferrari 340/375 MM carrossée par Pininfarina a été adjugée ce samedi à la Villa Erba pour 9 856 000 €, se plaçant loin devant les trente huit autres lots présentés ce jour par RM Auctions.
Ferrari a par ailleurs monopolisé les faveurs des enchérisseurs, puisque pas moins de neuf véhicules issus des usines de Maranello trustent les dix premières places de cette vente, où seule une Mercedes-Benz 300 SL Roadster de 1962 – vendue 1 114 400 € - a réussi à se glisser.
Le podium de ces enchères était complété par une Ferrari 400 Superamericana SWB de 1962 vendue 2 184 000 €, devant une Ferrari 275 GTB de 1965 pour laquelle le meilleur enchérisseur a proposé 1 120 000 €.
Une Ferrari 458 Scuderia à Francfort ?
Ferrari devrait présenter lors du prochain salon de Francfort une 458 aux performances accrues, frappée de la marque « Scuderia » et largement inspirée du modèle évoluant en compétition dans la série 458 Challenge.
Selon le magazine américain Car and Driver, cette 458 Scuderia se positionnerait comme la digne héritière de la 430 Scuderia, développée et présentée quatre ans après la sortie de la F430, et à laquelle ses heureux propriétaires vouent aujourd'hui encore un culte sans modération.
Selon le magazine américain Car and Driver, cette 458 Scuderia se positionnerait comme la digne héritière de la 430 Scuderia, développée et présentée quatre ans après la sortie de la F430, et à laquelle ses heureux propriétaires vouent aujourd'hui encore un culte sans modération.
Le V8 4,5 de 570 ch équipant l'actuelle F458 serait boosté pour atteindre les 600 ch, et verrait sa zone rouge passer de 9 000 à 9 300 tr/mn grâce à de substantielles modifications. L'électronique embarquée de la 458 serait ainsi retravaillé de même que sa ligne d'échappement, dont la sonorité serait d'ores et déjà qualifiée « d'arrabbiato », comprenez « méchante », par l'équipe en charge du projet !
Ajoutez à cela une petite cure d'amaigrissement – moins de 1 320 kilos sur la balance – et vous obtiendrez des performances que Maranello espère très proches des McLaren 12C dernier cru.
La présentation de cette Ferrari 458 Scuderia serait prévue pour le salon de Francfort, qui se tiendra du 10 au 22 septembre prochains.
La présentation de cette Ferrari 458 Scuderia serait prévue pour le salon de Francfort, qui se tiendra du 10 au 22 septembre prochains.
Une Ferrari 500 Mondial aux enchères
La vente aux enchères organisée en août prochain par RM Auctions à Monterey, en Californie, promet d'attirer la foule des grands jours ! Entre autres raretés, pas moins de 21 Ferrari seront en effet proposées à la vente, dont une remarquable 500 Mondial Spider Series de 1954.
Au milieu des 365 GTB/4 Daytona Berlinetta, 365 GTC/4, 250 GT Cabriolet Series et F40 qui défileront sur le podium de Monterey en quête d'un éventuel acquéreur, cette 500 Mondial Spider Series (dont l'estimation varie entre 2 130 000 € et 2 500 000 €) devrait assurément quitter la collection privée de William Tilley pour rejoindre celle d'un collectionneur tout aussi passionné (et fortuné !) de la marque au cheval cabré.
Portant le numéro de châssis 0418 MD, cette 500 Mondial est le sixième exemplaire de ce modèle – produit à 22 unités – sorti des usines de Maranello en Avril 1954. Officiellement engagée sur les Mille Miglia cette même année, elle fut dès le mois de juillet suivant revendue à un concessionnaire transalpin qui, à son tour, allait l'inscrire dans différentes compétitions avant de l'envoyer outre-Atlantique où elle allait disputer le Grand Prix du Vénézuela en 1955, 1956 et 1957.
Importée aux États-Unis en 1964, elle devait courir en compétition encore quelques années avant de participer plus récemment à de nombreux concours d'élégance.
On notera enfin que cette 500 Mondial devra se partager les honneurs avec une très rare Maserati Type 61 « Birdcage », estimée entre 2 300 000 € et 3 100 000 €.
Au milieu des 365 GTB/4 Daytona Berlinetta, 365 GTC/4, 250 GT Cabriolet Series et F40 qui défileront sur le podium de Monterey en quête d'un éventuel acquéreur, cette 500 Mondial Spider Series (dont l'estimation varie entre 2 130 000 € et 2 500 000 €) devrait assurément quitter la collection privée de William Tilley pour rejoindre celle d'un collectionneur tout aussi passionné (et fortuné !) de la marque au cheval cabré.
Portant le numéro de châssis 0418 MD, cette 500 Mondial est le sixième exemplaire de ce modèle – produit à 22 unités – sorti des usines de Maranello en Avril 1954. Officiellement engagée sur les Mille Miglia cette même année, elle fut dès le mois de juillet suivant revendue à un concessionnaire transalpin qui, à son tour, allait l'inscrire dans différentes compétitions avant de l'envoyer outre-Atlantique où elle allait disputer le Grand Prix du Vénézuela en 1955, 1956 et 1957.
Importée aux États-Unis en 1964, elle devait courir en compétition encore quelques années avant de participer plus récemment à de nombreux concours d'élégance.
On notera enfin que cette 500 Mondial devra se partager les honneurs avec une très rare Maserati Type 61 « Birdcage », estimée entre 2 300 000 € et 3 100 000 €.
Ferrari réduit sa production pour 2013
Ferrari entend rester une marque exclusive, dont les modèles, produits en petites quantités, continuent d'attiser la convoitise de ses clients. Pour cela, le constructeur italien a décidé de limiter sa production à moins de 7000 unités pour l'année 2013.
Pour une marque de luxe, cultiver la rareté est essentiel. Obliger ses clients à passer par une liste d'attente pour posséder l'objet de leurs rêves sert aussi à entretenir cette image de marque d'un constructeur qui conçoit des voitures hautement désirables. Telle était la philosophie d'Enzo Ferrari, que Luca di Montezemolo a décidé de mettre en pratique. Il annonce donc que le nombre de Ferrariproduites cette année sera de moins de 7000, contre 7318 en 2012, un record pour la marque.
Luca di Montezemolo est persuadé que cette décision n'aura pas de conséquences négatives pourFerrari, qui a déjà vu ses ventes augmenter de 4% au premier trimestre. Ce culte de la rareté a d'ailleurs bien profité récemment à la marque transalpine qui a vendu les 499 exemplaires de LaFerrari avant l'ouverture du Salon de Genève, alors qu'aux dernières nouvelles, McLaren n'a vendu que les 2/3 des 375 unités de sa P1…
Pour une marque de luxe, cultiver la rareté est essentiel. Obliger ses clients à passer par une liste d'attente pour posséder l'objet de leurs rêves sert aussi à entretenir cette image de marque d'un constructeur qui conçoit des voitures hautement désirables. Telle était la philosophie d'Enzo Ferrari, que Luca di Montezemolo a décidé de mettre en pratique. Il annonce donc que le nombre de Ferrariproduites cette année sera de moins de 7000, contre 7318 en 2012, un record pour la marque.
Luca di Montezemolo est persuadé que cette décision n'aura pas de conséquences négatives pourFerrari, qui a déjà vu ses ventes augmenter de 4% au premier trimestre. Ce culte de la rareté a d'ailleurs bien profité récemment à la marque transalpine qui a vendu les 499 exemplaires de LaFerrari avant l'ouverture du Salon de Genève, alors qu'aux dernières nouvelles, McLaren n'a vendu que les 2/3 des 375 unités de sa P1…
Une Ferrari ex-John Lennon aux enchères
En juillet prochain, dans le cadre des enchères organisées au Festival de Goodwood, la maison Bonhams proposera à la vente une Ferrari 330 GT 2+2 Coupé de 1965 ayant appartenu à John Lennon.
Un mois après avoir enregistré le titre « Ticket to ride » (Lennon pressentait sans doute que son permis était déjà dans la poche !), le Beatle obtenait effectivement sa « driving licence » et ne pouvait bien longtemps garder cette nouvelle secrète.
De Maserati à Jaguar en passant par Aston Martin, tous les concessionnaires de Londres se précipitèrent dans la propriété du fondateur des Beatles à Kenwood, dans le Surrey, pour saisir l'opportunité d'une bonne vente. Mais celui-ci optera finalement pour cette Ferrari bleu « azzuro » avec laquelle il parcourra quelques 32 000 kilomètres en trois ans.
Après avoir non seulement changé de main mais également de couleur à plusieurs reprises depuis (elle évolua un temps dans une livrée rouge), cette 330 GT retrouva son aspect d'origine lorsque son actuel propriétaire en fit l'acquisition dans les années 80.
Aujourd'hui estimée entre 216 000 et 262 000 euros, cette 330 GT 2+2 avait en son temps coûté à John Lennon quelques 6 500 £ (soit environ 170 000 € d'aujourd'hui).
Un mois après avoir enregistré le titre « Ticket to ride » (Lennon pressentait sans doute que son permis était déjà dans la poche !), le Beatle obtenait effectivement sa « driving licence » et ne pouvait bien longtemps garder cette nouvelle secrète.
De Maserati à Jaguar en passant par Aston Martin, tous les concessionnaires de Londres se précipitèrent dans la propriété du fondateur des Beatles à Kenwood, dans le Surrey, pour saisir l'opportunité d'une bonne vente. Mais celui-ci optera finalement pour cette Ferrari bleu « azzuro » avec laquelle il parcourra quelques 32 000 kilomètres en trois ans.
Après avoir non seulement changé de main mais également de couleur à plusieurs reprises depuis (elle évolua un temps dans une livrée rouge), cette 330 GT retrouva son aspect d'origine lorsque son actuel propriétaire en fit l'acquisition dans les années 80.
Aujourd'hui estimée entre 216 000 et 262 000 euros, cette 330 GT 2+2 avait en son temps coûté à John Lennon quelques 6 500 £ (soit environ 170 000 € d'aujourd'hui).
Une nouvelle LaFerrari en préparation ?
Dévoilée au salon de Genève il y a seulement quelques semaines, la nouvelle LaFerrari pourrait ne pas rester longtemps le fleuron de la marque au cheval cabré. Si l'on en croît les récentes déclarations de Flavio Manzoni, responsable du design de la supercar transalpine, une version exclusive de celle-ci serait déjà dans les cartons.
« Quand nous avons proposé les premières ébauches de la LaFerrari, l'une d'elles m'est apparue vraiment très attrayante », a ainsi expliqué Manzoni à nos confrères d'Autocar. « Nous avons donc décidé de conserver cette étude de style pour en faire à l'avenir quelque chose de très spécial ».
Avec son V12 6.3l et son système Hy-Kers développant à eux deux 963 ch, ses performances hors normes, ses lignes splendides et sa production limitée à 499 exemplaires, on pensait la supercar italienne assez exclusive. Visiblement Ferrari peut encore faire mieux !
Si les informations concernant cette future LaFerrari sont à prendre avec une évidente réserve, il se murmure déjà que ce nouveau modèle serait produit à seulement dix exemplaires, disposerait de plus de 1 000 ch sous le capot et serait vendu entre 4,5 et 7,8 millions d'euros.
« Quand nous avons proposé les premières ébauches de la LaFerrari, l'une d'elles m'est apparue vraiment très attrayante », a ainsi expliqué Manzoni à nos confrères d'Autocar. « Nous avons donc décidé de conserver cette étude de style pour en faire à l'avenir quelque chose de très spécial ».
Avec son V12 6.3l et son système Hy-Kers développant à eux deux 963 ch, ses performances hors normes, ses lignes splendides et sa production limitée à 499 exemplaires, on pensait la supercar italienne assez exclusive. Visiblement Ferrari peut encore faire mieux !
Si les informations concernant cette future LaFerrari sont à prendre avec une évidente réserve, il se murmure déjà que ce nouveau modèle serait produit à seulement dix exemplaires, disposerait de plus de 1 000 ch sous le capot et serait vendu entre 4,5 et 7,8 millions d'euros.
La fourchette est large, mais quand on sait que Lucas di Montezemolo a déclaré récemment que son « objectif dans les années à venir n'est pas d'augmenter le volume des ventes de Ferrari, mais de produire des voitures plus exclusives », on peut penser que l'arrivée d'une nouvelle LaFerrari est un projet plus concret qu'il n'y paraît.
WEC/Spa : carton plein de Ferrari en GTE
Grâce aux équipages Fisichella/Bruni et Potolicchio/Aguas/Malucelli, les Ferrari F458 Italia ont triomphé ce week-end à Spa-Francorchamps respectivement en catégorie GTE-Pro et GTE-Am.
Au terme d'un duel époustouflant qui les opposa tout au long de l'épreuve à l'Aston Martin Vantage V8 du trio Makowiecki/Senna/Bell, les italiens Giancarlo Fisichella et Gianmaria Bruni ont remporté les 6 Heures de Spa-Francorchamps avec quelques neuf secondes d'avance sur leurs poursuivants. De bon augure avant le grand rendez-vous du Mans.
« Tout d'abord je souhaite remercier AF Corse, parce qu'ils ont fait un très bon travail aujourd'hui », confiait Fisichella à l'arrivée. « J'ai vraiment hâte d'être au Mans, c'est la course la plus importante de la saison, et nous l'avons remportée l'année dernière. Nous voulons recommencer... Ce sera dur, mais nous ferons de notre mieux pour y parvenir ».
En catégorie GTE-Am, les nouveaux venus du 8Star Motorsports sont venus à bout de l'Aston Martin Vantage V8 officielle des danois Poulsen/Nygaard/Simonsen pour remporter son premier succès en WEC. Le Champion LMP2 2012 Enzo Potolicchio ne pouvait que se féliciter de ce résultat prometteur.
« C'est vraiment super de gagner ici », commentait le co-équipier de Rui Aguas et Matteo Malucelli. « Et faire partie de l'équipe 8Star Motorsport est aussi génial. J'apprends beaucoup et mon team m'aide beaucoup aussi. Nous avons gagné ici, et j'ai hâte d'être au Mans, mais Aston Martin et Corvette ne seront pas faciles à gérer, car ils sont très performants ».
Au terme d'un duel époustouflant qui les opposa tout au long de l'épreuve à l'Aston Martin Vantage V8 du trio Makowiecki/Senna/Bell, les italiens Giancarlo Fisichella et Gianmaria Bruni ont remporté les 6 Heures de Spa-Francorchamps avec quelques neuf secondes d'avance sur leurs poursuivants. De bon augure avant le grand rendez-vous du Mans.
« Tout d'abord je souhaite remercier AF Corse, parce qu'ils ont fait un très bon travail aujourd'hui », confiait Fisichella à l'arrivée. « J'ai vraiment hâte d'être au Mans, c'est la course la plus importante de la saison, et nous l'avons remportée l'année dernière. Nous voulons recommencer... Ce sera dur, mais nous ferons de notre mieux pour y parvenir ».
En catégorie GTE-Am, les nouveaux venus du 8Star Motorsports sont venus à bout de l'Aston Martin Vantage V8 officielle des danois Poulsen/Nygaard/Simonsen pour remporter son premier succès en WEC. Le Champion LMP2 2012 Enzo Potolicchio ne pouvait que se féliciter de ce résultat prometteur.
« C'est vraiment super de gagner ici », commentait le co-équipier de Rui Aguas et Matteo Malucelli. « Et faire partie de l'équipe 8Star Motorsport est aussi génial. J'apprends beaucoup et mon team m'aide beaucoup aussi. Nous avons gagné ici, et j'ai hâte d'être au Mans, mais Aston Martin et Corvette ne seront pas faciles à gérer, car ils sont très performants ».
1,48 million pour une Ferrari 330 GTS
RM Auctions a réalisé pour plus de 21 millions de dollars (16 millions d'euros) de ventes lors des enchères organisées samedi dernier à Fort Worth, au Texas, autour de la collection Don Davis. Une Ferrari 330 GTS de 1967 y a battu un record, en trouvant acquéreur pour plus de 1,936 million de dollars (1,48 million d'euros).
Comme toujours, des collectionneurs de tous horizons – quatorze nationalités représentées - s'étaient donné rendez-vous pour cette vente exceptionnelle où cinq véhicules ont franchi la barre symbolique du million de dollars.
Produite à seulement 99 exemplaires, la Ferrari 330 GTS de 1967 dessinée par Pininfarina et présentée dans une livrée « bleue obscure » a été adjugée 1 936 000 $ (1 480 000 €), décrochant ainsi le titre de 330 GTS la plus coûteuse jamais vendue aux enchères.
Deuxième meilleure vente du jour, une Ferrari 365 GTB/4 Daytona Spider by Scaglietti de 1973 a également trouvé acquéreur pour pour plus d'un million de dollars (1 650 000 €), devant une Mercedes-Benz 300SL Gullwing de 1955 (1 237 500 $) et une Toyota 2000 GT de 1967 qui signe un nouveau record pour ce modèle, à 1 155 000 $ !
On notera enfin parmi les soixante-cinq véhicules proposés, la vente des superbes – et plutôt rares - Porsche 959 « Komfort » de 1988 (770 000 $) et Lamborghini 350 GT Coupé de 1965 (550 000 $).
Comme toujours, des collectionneurs de tous horizons – quatorze nationalités représentées - s'étaient donné rendez-vous pour cette vente exceptionnelle où cinq véhicules ont franchi la barre symbolique du million de dollars.
Produite à seulement 99 exemplaires, la Ferrari 330 GTS de 1967 dessinée par Pininfarina et présentée dans une livrée « bleue obscure » a été adjugée 1 936 000 $ (1 480 000 €), décrochant ainsi le titre de 330 GTS la plus coûteuse jamais vendue aux enchères.
Deuxième meilleure vente du jour, une Ferrari 365 GTB/4 Daytona Spider by Scaglietti de 1973 a également trouvé acquéreur pour pour plus d'un million de dollars (1 650 000 €), devant une Mercedes-Benz 300SL Gullwing de 1955 (1 237 500 $) et une Toyota 2000 GT de 1967 qui signe un nouveau record pour ce modèle, à 1 155 000 $ !
On notera enfin parmi les soixante-cinq véhicules proposés, la vente des superbes – et plutôt rares - Porsche 959 « Komfort » de 1988 (770 000 $) et Lamborghini 350 GT Coupé de 1965 (550 000 $).
Hublot MP-05 en hommage à LaFerrari
Le Haut Horloger suisse Hublot, partenaire privilégié du constructeur automobile italien Ferrari depuis 2011, vient de présenter la dernière de ses créations : la MP-05 « LaFerrari ». Une montre haut de gamme et exclusive, à l'image de celle qui en a inspiré la conception.
Célèbre de par le monde pour avoir développé la montre la plus chère jamais conçue (la Big Bang 5 millions à 5 millions de dollars), Hublot l'est également pour ses réalisations plus conventionnelles mais tout aussi réussies telle la série Big Bang Ferrari.
La montre MP-05 « LaFerrari » sort pour sa part des sentiers battus avec une architecture unique reprenant le design du bloc propulseur de la Supercar transalpine. Une pièce d'orfèvrerie conçue en fibre de carbone, titanium et autres matériaux high-tech comme sa vitre de protection en saphir.
Des rouleaux anodisés noirs défilent sur son côté droit pour indiquer l'heure, et deux cylindres identiques positionnés en vis-à-vis fournissent les indications concernant son autonomie. La MP-05 « LaFerrari » dispose d'une autonomie de cinquante jours, un record en la matière.
Seuls cinquante exemplaires de cette montre MP-05 « LaFerrari » seront produits pour un tarif encore inconnu, mais que l'on imagine tout aussi exclusif.
Ferrari : LaFerrari au Grand Palais
A l'occasion des vérifications techniques du Tour Auto le 22 avril, Ferrari dévoilera pour la première fois en France sa dernière hypercar, baptisée comme on le sait LaFerrari. Elle sera en terrain connu sous les verrières du Grand Palais : pas moins de 36 autres Ferrari sont en effet attendues au départ de l'épreuve, dont pas moins de six 250 GT ainsi que deux 458 Italia et une Enzo qui serviront d'ouvreuses.
Pour mémoire, la Ferrari LaFerrari est propulsée par un V12 de 6,3 litres associé à un moteur électrique pour une puissance totale de 963 ch, qui lui permet de pulvériser le 0 à 200 km/h en moins de 7 secondes ! Des chiffres alléchants que le constructeur fait payer le prix fort : 1,3 millions d'euros. Il ne fait cependant aucun doute qu'un certain nombre de clients attendant désormais la livraison de leur exemplaire seront déjà sur place pour le Tour Auto. Ferrari sait choisir ses cibles !
Vérifications techniques du Tour Auto au Grand Palais, le 22 avril de 10h à 17h. Tarif : 10€
Pour mémoire, la Ferrari LaFerrari est propulsée par un V12 de 6,3 litres associé à un moteur électrique pour une puissance totale de 963 ch, qui lui permet de pulvériser le 0 à 200 km/h en moins de 7 secondes ! Des chiffres alléchants que le constructeur fait payer le prix fort : 1,3 millions d'euros. Il ne fait cependant aucun doute qu'un certain nombre de clients attendant désormais la livraison de leur exemplaire seront déjà sur place pour le Tour Auto. Ferrari sait choisir ses cibles !
Vérifications techniques du Tour Auto au Grand Palais, le 22 avril de 10h à 17h. Tarif : 10€
Une coque de Ferrari 250 GTO à vendre ?
Au fil des années, la cote de la Ferrari 250 GTO ne cesse de s'envoler vers les sommets. L'an dernier, un exemplaire de 1962 a même réussi à crever le plafond en étant adjugé 35 millions de dollars lors d'une vente aux enchères. Pour ceux qui aurait un budget un peu plus serré, SPS Automotive à Hong Kong a un début de solution à 120 000 $ pour vous ! Sauf que...
Le produit proposé n'est autre qu'une simple coque nue originale à finir de monter. Mais à première vue, il faudrait commencer par définir le terme original : serait-ce une véritable coque officielle façonnée par Ferrari dans les années 60 ou serait-ce l'œuvre originale d'un carrossier, aussi renommé soit-il ?
En y regardant de plus près, il semblerait que cette coque ne soit donc qu'une reproduction - presque - réussie (finie ?) de la Ferrari 250 GTO : le tas de tôle n'a pas d'ouvertures derrière les ailes arrière et n'a pas d'orifices pouvant accueillir les feux arrière, le bouchon de réservoir ou les poignées de portes. De plus, la découpe sur la partie arrière du toit (même s'il ressemble plus à un hard-top posé à la va-vite) asymétrique et pas conforme au modèle original ou les ailes arrière caricaturalement bombées permettent d'effacer tous nos doutes sur l'origine de cette carrosserie.
Mais une simple réplique au milieu des superbes pièces de collection proposées par SPS Automotive serait une grosse et mauvaise surprise. Et pourtant, nous n'y voyons pas d'autres explications possibles malgré nos recherches. Finalement, ne pourrions-nous pas investir ces 120 000 $ ailleurs ?
Le produit proposé n'est autre qu'une simple coque nue originale à finir de monter. Mais à première vue, il faudrait commencer par définir le terme original : serait-ce une véritable coque officielle façonnée par Ferrari dans les années 60 ou serait-ce l'œuvre originale d'un carrossier, aussi renommé soit-il ?
En y regardant de plus près, il semblerait que cette coque ne soit donc qu'une reproduction - presque - réussie (finie ?) de la Ferrari 250 GTO : le tas de tôle n'a pas d'ouvertures derrière les ailes arrière et n'a pas d'orifices pouvant accueillir les feux arrière, le bouchon de réservoir ou les poignées de portes. De plus, la découpe sur la partie arrière du toit (même s'il ressemble plus à un hard-top posé à la va-vite) asymétrique et pas conforme au modèle original ou les ailes arrière caricaturalement bombées permettent d'effacer tous nos doutes sur l'origine de cette carrosserie.
Mais une simple réplique au milieu des superbes pièces de collection proposées par SPS Automotive serait une grosse et mauvaise surprise. Et pourtant, nous n'y voyons pas d'autres explications possibles malgré nos recherches. Finalement, ne pourrions-nous pas investir ces 120 000 $ ailleurs ?
La Ferrari 458 Monte Carlo en Commande
Après avoir dévoilé la sulfureuse LaFerrari, la marque au cheval cabré dévoilera prochainement une déclinaison plus affûtée de la 458 Italia. Bien qu'aucune information sur sa fiche technique ou son patronyme n'ait encore été divulguée, Ferrari viendrait d'ouvrir son carnet de commandes.
L'information a été révélée par deux clients qui affirment avoir déjà passé commande de leur exemplaire. D'après les premières rumeurs, celle qui se fait appeler pour le moment 458 Monte Carlo devrait disposer de 620 ch, soit de quoi aller taquiner la McLaren MP4-12C, récemment revue à 625 ch. Le régime minceur et la chirurgie esthétique seront bien évidement au rendez-vous.
La Ferrari 458 Monte Carlo devrait faire sa première apparition au salon de Francfort avant de rejoindre les routes début 2014.
L'information a été révélée par deux clients qui affirment avoir déjà passé commande de leur exemplaire. D'après les premières rumeurs, celle qui se fait appeler pour le moment 458 Monte Carlo devrait disposer de 620 ch, soit de quoi aller taquiner la McLaren MP4-12C, récemment revue à 625 ch. Le régime minceur et la chirurgie esthétique seront bien évidement au rendez-vous.
La Ferrari 458 Monte Carlo devrait faire sa première apparition au salon de Francfort avant de rejoindre les routes début 2014.
Ferrari 599 : un kit aéro façon 599XX
Alors que les premières Ferrari F12berlinetta ont été livrées à leurs heureux clients, la marque italienne n'oublie pas sa devancière pour autant. Afin de satisfaire les propriétaires de 599 GTB et GTO qui passeraient leur temps sur circuit, Ferrari propose officiellement un nouveau kit aérodynamique.
Développé dans la soufflerie maison, ce kit reprend quelques éléments aérodynamiques déjà installés sur la 599XX comme la lèvre avant, l'aileron de coffre ou les deux ailettes des montants C.
Avec ces appendices, Ferrari annonce une meilleure stabilité en courbe comme en ligne droite.
Reste à connaître le prix de ces évolutions et savoir si la carrosserie bi-ton sera du goût des propriétaires...
Développé dans la soufflerie maison, ce kit reprend quelques éléments aérodynamiques déjà installés sur la 599XX comme la lèvre avant, l'aileron de coffre ou les deux ailettes des montants C.
Avec ces appendices, Ferrari annonce une meilleure stabilité en courbe comme en ligne droite.
Reste à connaître le prix de ces évolutions et savoir si la carrosserie bi-ton sera du goût des propriétaires...
Novitec se penche sur la F12 Berlinetta
Attention aux yeux : Novitec Rosso, préparateur allemand, a doté la Ferrari F12 Berlinetta d'un design encore plus musclé, encore plus large. Son nom : N-Largo, tout simplement !
Novitec Rosso vient en effet de publier, en guise de teaser, deux photos de sa F12 Berlinetta N-Largo, arborant un kit carrosserie quelque peu bestial. Au programme : carrosserie en fibre de carbone, couleur rouge sombre, nouvel échappement, nouveau bouclier avant, diffuseur et aileron. Les jupes latérales sont également redessinées, tandis que les jantes de 22 pouces et les vitres se parent d'une teinte sombre un peu tape à l'œil.
Le préparateur allemand s'était déjà penché, il y a quelques mois, sur la GT italienne en retravaillant l'habitacle doté pour l'occasion de cuir, d'Alcantara et d'inserts en fibre de carbone. Le V12 y avait été revu et « corrigé » pour faire grimper sa puissance à 763 ch, pour un couple maximum de 703 Nm à 6300 tr/min. La vitesse de pointe atteignait alors les 345 km/h.
Espérons qu'à côté du kit de carrosserie, Novitec proposera une mise à hauteur des performances de sa F12 Berlinetta, qui vient d'être dépassée dans ce domaine par la La Ferrari.
Novitec Rosso vient en effet de publier, en guise de teaser, deux photos de sa F12 Berlinetta N-Largo, arborant un kit carrosserie quelque peu bestial. Au programme : carrosserie en fibre de carbone, couleur rouge sombre, nouvel échappement, nouveau bouclier avant, diffuseur et aileron. Les jupes latérales sont également redessinées, tandis que les jantes de 22 pouces et les vitres se parent d'une teinte sombre un peu tape à l'œil.
Le préparateur allemand s'était déjà penché, il y a quelques mois, sur la GT italienne en retravaillant l'habitacle doté pour l'occasion de cuir, d'Alcantara et d'inserts en fibre de carbone. Le V12 y avait été revu et « corrigé » pour faire grimper sa puissance à 763 ch, pour un couple maximum de 703 Nm à 6300 tr/min. La vitesse de pointe atteignait alors les 345 km/h.
Espérons qu'à côté du kit de carrosserie, Novitec proposera une mise à hauteur des performances de sa F12 Berlinetta, qui vient d'être dépassée dans ce domaine par la La Ferrari.
Une Ferrari FXX homologuée à vendre
Quelques années après la naissance de l'Enzo, Ferrari a présenté une évolution exclusivement destinée à la piste, la FXX. Homologuée ni sur route, nis en compétition, la FXX permettait aux plus fidèles clients de la marque de devenir "pilote essayeur" sous certaines conditions : les sorties circuit étaient fixées par Ferrari et c'est la marque qui conservait les 29 exemplaires de la pistarde.
Malgré tous les efforts fait par Ferrari pour choisir les "heureux payeurs" (la FXX était fixée à 1,5 million d'euros), certains propriétaires n'ont pas hésité à transgresser certaines règles, comme celui-ci, qui vend son exemplaire blanc nacré. Outre le fait que cette petite annonce puisse faire grincer les dents à la firme italienne, cette Ferrari FXX est homologuée sur route !
Le prix n'a pas été communiqué, mais cette FXX est une opportunité rare pour pouvoir garder la tête haute face à votre voisin et sa future F150.
Malgré tous les efforts fait par Ferrari pour choisir les "heureux payeurs" (la FXX était fixée à 1,5 million d'euros), certains propriétaires n'ont pas hésité à transgresser certaines règles, comme celui-ci, qui vend son exemplaire blanc nacré. Outre le fait que cette petite annonce puisse faire grincer les dents à la firme italienne, cette Ferrari FXX est homologuée sur route !
Le prix n'a pas été communiqué, mais cette FXX est une opportunité rare pour pouvoir garder la tête haute face à votre voisin et sa future F150.
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