Salon de l’Auto de Genève 2013 : le produit au coeur de l’animation digitale
CultureEvenement.com a décidé de consacrer son 2ème post sur le Salon de l’Auto de Genève à une autre tendance : Le produit au cœur de l’animation digitale.
En effet, nous avons pu remarquer cette année que les annonceurs misent sur des animations ayant comme point d’entrée le produit réel. Revenir à l’essence même du produit sans le dénaturer pour communiquer sur la valeur ajoutée de celui-ci.
Voici donc un récapitulatif des animations basées sur ce principe.
1. Réalité augmentée
De nombreuses innovations sont présentes sur le stand Ford cette année. Nous y reviendrons en détail plus tard. Celle qui nous intéresse particulièrement dans cet article est une application de réalité augmentée destinée à présenter des pièces du nouveau moteur hybrid du constructeur américain.
Un moteur entouré de 3 iPads sur pieds articulés trône au milieu du stand. Sur chaque iPad, une animation 3D (exemple : animation montrant les mouvements des pistons dans le moteur ou la circulation des flux) ainsi que des informations textuelles apparaissent sur l’écran quand le tag est détecté par la webcam de l’iPad.
2. Le lab Renault
Pour présenter toutes ses innovations, Renault a mis en place un véritable « laboratoire » comprenant de nombreuses animations mêlant produits réels et animations digitales.
Un premier dispositif permet de réaliser un scan de la voiture pour découvrir ce qui se cache sous la carrosserie.
Un deuxième dispositif offre aux visiteurs la possibilité de configurer sa voiture. Il peut choisir la couleur de la peinture pour la carrosserie et l’habitacle ainsi que les tissus (les textures sont palpables).
D’autres applications permettent de mettre en avant un avantage du produit par exemple le court temps de chargement électrique pour la batterie, la connectivité du véhicule ou encore les faibles émissions du moteur hybride…
3. Les écrans transparents
Plusieurs constructeurs ont surfé sur la tendance en misant sur les nouveaux écrans transparents pour présenter des pièces bien spécifiques de leurs voitures.
On peut regretter que la mise en scène autour du produit n’ait pas été plus travaillée.
2. Le lab Renault
Pour présenter toutes ses innovations, Renault a mis en place un véritable « laboratoire » comprenant de nombreuses animations mêlant produits réels et animations digitales.
Un premier dispositif permet de réaliser un scan de la voiture pour découvrir ce qui se cache sous la carrosserie.
Un deuxième dispositif offre aux visiteurs la possibilité de configurer sa voiture. Il peut choisir la couleur de la peinture pour la carrosserie et l’habitacle ainsi que les tissus (les textures sont palpables).
D’autres applications permettent de mettre en avant un avantage du produit par exemple le court temps de chargement électrique pour la batterie, la connectivité du véhicule ou encore les faibles émissions du moteur hybride…
3. Les écrans transparents
Plusieurs constructeurs ont surfé sur la tendance en misant sur les nouveaux écrans transparents pour présenter des pièces bien spécifiques de leurs voitures.
On peut regretter que la mise en scène autour du produit n’ait pas été plus travaillée.
Salon de l’Auto de Genève 2013 : l’implantation du jeu vidéo dans le monde de l’automobile !
Fidèle au rendez-vous comme chaque année, CultureEvenement.com s’est rendu aujourd’hui à la journée d’ouverture de la 83ème édition du Salon de l’Automobile de Genève.
Notre premier article sur le Salon de l’Auto traitera des applications de jeux intéressantes.
Est-ce le contexte actuel difficile qui pousse les constructeurs à miser sur des applications de jeux ? Nous ne le savons pas, mais il est sûr que ceux-ci occupent une grande place dans la communication des groupes automobiles cette année et servent à véhiculer une bonne ambiance sur l’ensemble du salon !
Séduire les enfants pour attirer les parents, ce n’est pas nouveau !
D’autant plus si les jeux s’adaptent et plaisent autant aux grands qu’aux petits !
Voici donc quelques idées de jeux qui nous ont séduits :
1. Mercedes
Tout d’abord, le stand Mercedes, si traditionnel habituellement nous a très agréablement surpris cette fois-ci !
En effet, le stand dispose d’un jeu bien conçu qui attire les enfants comme des aimants :
Le dispositif impeccablement intégré à la scénographie du stand est composé de 3 totems servant à l’interaction, tous 3 placés devant un grand mur d’écran :
- le premier totem sert à contrôler et à piloter le véhicule
- le deuxième sert à ajouter un effet à l’animation (texture de la route, jour / nuit…)
- le troisième est un pad musical servant à créer son propre mix et à ajouter la bande son créée à son clip.
A la fin de sa session de jeu, le joueur est pris en photo. Cette photo vient personnaliser la session de jeu qui a été enregistrée au préalable. Vient ensuite s’ajouter comme fond sonore le mix réalisé sur le troisième totem.
Possibilité de visualiser sa vidéo personnalisée sur le site événementiel de Mercedes.
Une belle animation en tous les cas qui permet de rapprocher Mercedes du grand public.
2. Mini
Autre stand, toujours très tendance quant à lui et qui a également surfé sur la vague du jeu cette année, c’est celui de Mini Cooper.
Le jeu s’inscrit dans un environnement très urbain.
Il s’agit tout simplement de piloter une Mini virtuelle grâce à un volant bien réel. La route est délimitée par des néons bleus illustrant la sportivité d’une part, et par des néons verts illustrant les faibles émissions de CO2 d’autre part.
En fonction de la vitesse de la voiture, la musique du jeu évolue.
Rapide et rythmée quand la voiture roule rapidement, calme et reposante quand la conduite est lente.
3. Skoda
Skoda nous a surpris par son temps fort de la journée. La marque propose aux visiteurs de tenter leur chance pour gagner des places VIP sur le prochain Tour de France.
Les personnes s’affrontent l’une contre l’autre dans un jeu qui consiste à nettoyer une Skoda virtuellement grâce à un système de détection de mouvement.
Même si le principe reste simple, le fait que Skoda choisisse de diffuser le jeu sur un ecran géant permet d’attirer une foule incroyable en quelques minutes.
Fidèle au rendez-vous comme chaque année, CultureEvenement.com s’est rendu aujourd’hui à la journée d’ouverture de la 83ème édition du Salon de l’Automobile de Genève.
Notre premier article sur le Salon de l’Auto traitera des applications de jeux intéressantes.
Est-ce le contexte actuel difficile qui pousse les constructeurs à miser sur des applications de jeux ? Nous ne le savons pas, mais il est sûr que ceux-ci occupent une grande place dans la communication des groupes automobiles cette année et servent à véhiculer une bonne ambiance sur l’ensemble du salon !
Séduire les enfants pour attirer les parents, ce n’est pas nouveau !
D’autant plus si les jeux s’adaptent et plaisent autant aux grands qu’aux petits !
Voici donc quelques idées de jeux qui nous ont séduits :
1. Mercedes
Tout d’abord, le stand Mercedes, si traditionnel habituellement nous a très agréablement surpris cette fois-ci !
En effet, le stand dispose d’un jeu bien conçu qui attire les enfants comme des aimants :
Le dispositif impeccablement intégré à la scénographie du stand est composé de 3 totems servant à l’interaction, tous 3 placés devant un grand mur d’écran :
- le premier totem sert à contrôler et à piloter le véhicule
- le deuxième sert à ajouter un effet à l’animation (texture de la route, jour / nuit…)
- le troisième est un pad musical servant à créer son propre mix et à ajouter la bande son créée à son clip.
A la fin de sa session de jeu, le joueur est pris en photo. Cette photo vient personnaliser la session de jeu qui a été enregistrée au préalable. Vient ensuite s’ajouter comme fond sonore le mix réalisé sur le troisième totem.
Possibilité de visualiser sa vidéo personnalisée sur le site événementiel de Mercedes.
Une belle animation en tous les cas qui permet de rapprocher Mercedes du grand public.
2. Mini
Autre stand, toujours très tendance quant à lui et qui a également surfé sur la vague du jeu cette année, c’est celui de Mini Cooper.
Le jeu s’inscrit dans un environnement très urbain.
Il s’agit tout simplement de piloter une Mini virtuelle grâce à un volant bien réel. La route est délimitée par des néons bleus illustrant la sportivité d’une part, et par des néons verts illustrant les faibles émissions de CO2 d’autre part.
En fonction de la vitesse de la voiture, la musique du jeu évolue.
Rapide et rythmée quand la voiture roule rapidement, calme et reposante quand la conduite est lente.
Rapide et rythmée quand la voiture roule rapidement, calme et reposante quand la conduite est lente.
3. Skoda
Skoda nous a surpris par son temps fort de la journée. La marque propose aux visiteurs de tenter leur chance pour gagner des places VIP sur le prochain Tour de France.
Les personnes s’affrontent l’une contre l’autre dans un jeu qui consiste à nettoyer une Skoda virtuellement grâce à un système de détection de mouvement.
Même si le principe reste simple, le fait que Skoda choisisse de diffuser le jeu sur un ecran géant permet d’attirer une foule incroyable en quelques minutes.
La tendance des sites d’inscription pour les essais automobiles
Afin d’accompagner le lancement de nouveaux modèles de voitures et de faire la promotion de nouvelles fonctionnalités, les constructeurs automobiles proposent des sessions de test drive autrement dits des essais privés. Aujourd’hui, que ce soit Citroën, BMW ou encore Alfa Romeo, les constructeurs proposent tous des sites d’inscription pour inviter les clients ou les prospects à venir essayer leurs véhicules.
La tendance du site d’inscription est au style épuré et design avec une mise en avant élégante des véhicules. La personne est invitée à choisir son véhicule parmi un large choix, une date et un créneau horaire. Il doit ensuite renseigner quelques informations et le rendez-vous est pris !
Certains constructeurs automobiles comme Mercedes vont encore plus loin en faisant vivre aux internautes une pré-expérience de l’essai et en leur permettant de retrouver toutes les vidéos des essais sur le site
L’avenir du web est au HTML 5.
L’heure n’est plus à la standardisation des sites d’inscription en ligne et ceux-ci n’échappent pas à la tendance.
Pour preuve, le dernier site permettant de s’inscrire à des essais automobiles développé pour Mercedes pour promouvoir le lancement de sa nouvelle Classe A en Allemagne.
Une navigation originale grâce à la magie du scroll.
Nous retrouvons le site de présentation du produit commun à tous les sites d’inscription mais qui se différencie grandement par le fait que l’internaute est immergé dans une vidéo comme s’il se promenait de nuit dans une ville au volant d’une Classe A. Il peut la faire avancer ou reculer grâce au scroll pour accéder aux différents onglets de présentation.
Le site d’inscription est accessible depuis cette vidéo (étape 3).
Quand on clique sur le lien, on atterrit sur le front office de la plateforme d’inscription présentant une galerie vidéo (les personnes ayant participé se font filmer pendant leur essai) ainsi qu’une carte interactive avec les différentes villes traversées par la campagne de lancement.
On peut choisir le créneau horaire et la ville dans laquelle on souhaite faire l’essai. La suite reprend l’étape obligatoire de l’inscription via un formulaire.
Mais beaucoup d’autres fonctionnalités plus événementielles peuvent aussi être mises en place : impression de QR-Code pour une meilleure gestion le jour J, réalité augmentée pour découvrir différemment les fonctionnalités de la voiture, possibilité de partager sur Facebook des photos ou vidéos du test drive pour augmenter le potentiel de viralité, géolocalisation et personnalisation du parcours, etc.
L’avenir du web est au HTML 5.
L’heure n’est plus à la standardisation des sites d’inscription en ligne et ceux-ci n’échappent pas à la tendance.
Pour preuve, le dernier site permettant de s’inscrire à des essais automobiles développé pour Mercedes pour promouvoir le lancement de sa nouvelle Classe A en Allemagne.
Une navigation originale grâce à la magie du scroll.
Nous retrouvons le site de présentation du produit commun à tous les sites d’inscription mais qui se différencie grandement par le fait que l’internaute est immergé dans une vidéo comme s’il se promenait de nuit dans une ville au volant d’une Classe A. Il peut la faire avancer ou reculer grâce au scroll pour accéder aux différents onglets de présentation.
Le site d’inscription est accessible depuis cette vidéo (étape 3).
Quand on clique sur le lien, on atterrit sur le front office de la plateforme d’inscription présentant une galerie vidéo (les personnes ayant participé se font filmer pendant leur essai) ainsi qu’une carte interactive avec les différentes villes traversées par la campagne de lancement.
On peut choisir le créneau horaire et la ville dans laquelle on souhaite faire l’essai. La suite reprend l’étape obligatoire de l’inscription via un formulaire.
Les objets connectés : l’avenir de l’événementiel
L’ordinateur, la télé, le téléphone, la tablette, même la voiture : nous connaissons bien ces objets qui font partie de notre quotidien. Ils sont connectés à internet mais aussi entre eux et s’envoient des informations, des données. Mais si la connexion s’étendait à d’autres objets, des objets sans écran ? Et si votre ventilateur, votre poubelle et votre lit étaient connectés et vous transmettaient des informations ? Imaginez le monde de demain. La révolution des objets connectés a commencé et trouve déjà des applications concrètes dans l’événementiel, découvrez quelques exemples :
Le frigo qui commande des pizzas : Ce petit magnet étonnant permet, après installation et par une simple pression sur un bouton, de commander votre pizza favorite. Le dispositif est simple, une fois le magnet reçu, vous l’installez sur votre frigo et vous le couplez à votre téléphone en lui associant le numéro de téléphone de Tomato Pizza. Ensuite vous appuyez sur le bouton, vous recevez un sms de confirmation que vous validez et hop ! Votre pizza arrive ! Envie d’une autre pizza ? Changez votre sélection sur leur site internet.
La plante qui parle: 
Grâce à ce petit appareil, votre plante vous dit quand l’arroser via twitter et vous remercie même après ! Il faut savoir que les objets connectés sont la réalité d’un avenir proche et tendent à être totalement intégrés à notre quotidien. De plus en plus nombreuses sont les villes de France à vouloir s’équiper de mobilier urbain connecté tel que Paris, Bordeaux, Toulouse, Lyon pour ne citer qu’elles. Afin de mieux figurer l’enjeu de cette technologie, l’exemple de Songdo en Corée est tout à fait représentatif.
Songdo est une ville actuellement en construction sur une île artificielle de Corée près de Seoul. Elle a pour ambition d’être entièrement connectée. Cette cité ubiquitaire sera numérique et écologique : 40% de l’espace sera vert et, à titre d’exemple, les poubelles seront numérisées. Le compte des usagers (car l’argent physique n’existera pas) qui recycleront leurs verres ou leurs cannettes de soda sera automatiquement crédité. Certes les objets connectés semblent vouloir se faire tranquillement une place dans notre quotidien. Mais quelle application envisager pour l’événementiel ? De quelle façon exploiter le potentiel de ce nouveau type d’objet ?
La bouteille qui tweet en vous servant : Tweetelier, vous versez, elle tweet ! Il s’agit d’un transmetteur radio adapté sur une bouteille qui lorsque vous servez un verre, tweet. Mais on peut aussi envisager l’action inverse. A partir d’un tweet, une réaction physique se produit. C’est l’exemple d’Adfreak, l’Agence britannique Uniform qui a développé une machine à l’intérieur de ses locaux. A chaque nouveau follower Twitter, la machine libère un chewing gum.
Tous les objets peuvent-ils être connectés ?
Tout d’abord un objet connecté est un objet qui intègre, préalablement ou non, un système de connexion ou de radio transmission. L’objet en lui-même n’est pas nécessairement un objet électronique. Le système électronique peut être intégré dans l’objet lors de sa fabrication mais il peut aussi être adapté sur l’objet.
Comment utiliser des objets connectés dans la communication événementielle ?
On peut envisager de multiples utilisations des objets connectés pour l’événementiel. L’interaction monde réel et virtuel apporte une autre dimension aux événements qui ne sera pas sans plaire aux participants. Grâce à ces nouvelles technologies, les champs des possibilités de l’événementiel s’élargissent.
Type d’innovation :
- Radio transmission
- Génération de post automatiques
- Interaction virtuel/réel
Grâce à ce petit appareil, votre plante vous dit quand l’arroser via twitter et vous remercie même après ! Il faut savoir que les objets connectés sont la réalité d’un avenir proche et tendent à être totalement intégrés à notre quotidien. De plus en plus nombreuses sont les villes de France à vouloir s’équiper de mobilier urbain connecté tel que Paris, Bordeaux, Toulouse, Lyon pour ne citer qu’elles. Afin de mieux figurer l’enjeu de cette technologie, l’exemple de Songdo en Corée est tout à fait représentatif.Songdo est une ville actuellement en construction sur une île artificielle de Corée près de Seoul. Elle a pour ambition d’être entièrement connectée. Cette cité ubiquitaire sera numérique et écologique : 40% de l’espace sera vert et, à titre d’exemple, les poubelles seront numérisées. Le compte des usagers (car l’argent physique n’existera pas) qui recycleront leurs verres ou leurs cannettes de soda sera automatiquement crédité. Certes les objets connectés semblent vouloir se faire tranquillement une place dans notre quotidien. Mais quelle application envisager pour l’événementiel ? De quelle façon exploiter le potentiel de ce nouveau type d’objet ?Quand le secteur automobile mixe le réel et le virtuel !
Les concessionnaires automobiles redoublent d’inventivité pour la promotion de nouvelles fonctionnalités ou de nouveaux véhicules.
A l’exemple de Mini qui, à travers le monde, met en place des installations interactives plus imaginatives les unes que les autres. Nous avions déjà parlé de l’installation Mini en Belgique ici. Dernièrement, Mini a aussi investi le Centre Pompidou en mettant en place un manège interactif : pour pouvoir faire un tour, les participants devaient au préalable s’inscrire sur la page Facebook dédiée et imprimer un QR-Code. On a pu aussi voir la Mini dans un aquarium à Dubaï, habillée de ballons dans différentes villes du Canada ou encore transformée en fusée à Londres.
Ford a également créé le buzz avec son flipper interactif au cœur de Paris, le but étant de mettre en avant son système « park assist ». Le principe était simple : une place dans Paris restait libre, ce qui est assez rare, les parisiens essayaient alors de se garer entre 2 voitures « piégées » qui servaient de « bumpers ».
En parallèle, un écran géant représentait un billboard et celui-ci s’animait dès que le conducteur touchait une des deux voitures. Le conducteur ayant touché le plus grand nombre de fois les deux voitures, c’est-à-dire le plus mauvais conducteur, s’est vu remettre les clés d’une Ford Focus dotée du système « park assist ».
Smart a aussi innové pour promouvoir la nouvelle version de sa Fortwo électrique en reprenant le jeu «Pong». Les raquettes ont été remplacées par des voitures et les participants devaient avancer ou faire marche arrière pour percuter virtuellement la balle. Le tout était représenté sur un écran géant.
Quelle sera la prochaine marque à nous épater ?
Types d’innovation :
• Réseaux sociaux
• Réalité mixte
Exemples d’utilisation :
• Promotion
• Lancement
• Street marketing
• Réseaux sociaux
• Réalité mixte
• Promotion
• Lancement
• Street marketing
Les applications photos ont toujours la côte au Salon de l’Auto de Genève
Pour cette nouvelle édition du Salon International de l’Auto et Accessoires de Genève, Culture Evénement s’est rendu sur place dans l’intention de vous montrer comment les grandes marques automobiles redoublent d’efforts pour toujours surprendre et attirer les visiteurs sur leur stand.
Constat sur place : pas d’innovations majeures mais une bonne réutilisation des vieilles recettes qui fonctionnent.
Culture Evénement a décidé de dédier ce premier post aux animations photos mises en place sur de nombreux stands.
Notre coup de cœur va au stand de Mini qui proposait au visiteur d’ « être une star parmi les stars ».
L’animation était composée d’une part de tablettes incrustées dans l’habillage du stand devant lesquelles étaient disposés des sièges pour inciter à s’assoir.
L’application proposait de constituer une planche de photos composée de 4 clichés différents (type photomaton).
Une fois les photos générées, il était possible de se les envoyer par mail et/ou d’apparaitre sur un mur d’écrans au milieu de tous les autres portraits.
Le fonctionnement était très simple mais le rendu graphique très réussi comme à son habitude pour Mini.
Une autre animation photo sur le stand de Hyundai a attiré notre attention. La photo était prise encore une fois via une tablette. Le visiteur pouvait décider de l’incruster dans un cadre polaroid, dans un panneau d’affichage d’une grande métropole ou dans la une d’un journal. Là encore, il était possible de s’envoyer la photo par mail, de la retrouver sur la page Facebook du stand de la marque et d’apparaitre sur un grand écran qui reprenait en diaporama toutes les photos prises.
Toyota aussi avait entre autres misé sur une animation photo présentée sur une « grande borne d’arcade » créée spécialement pour l’occasion afin d’attirer le chaland sur son stand.
Sur cette borne plusieurs animations étaient disponibles :
- Animation de composition musicale, le visiteur pouvait créer ses propres mix,
- Animation de coloriage de voiture par le biais de sprays,
- Animation d’habillage d’un arbre de fleurs, de feuilles et de fruits pour bien montrer l’engagement écologique de Toyota
- Et animation photo qui via un traitement d’image permettait de donner un effet « pop art » en y ajoutant des couleurs très vives et un traité crayonné. Le visiteur pouvait repartir avec sa photo comme goodie.
Sur le stand Seat, une hôtesse abordait les visiteurs pour leur proposer de se prendre en photo avec une tablette. Il avait le choix entre 2 décors selon qu’il s’agissait d’un homme ou d’une femme. L’hôtesse cadrait la photo de sorte à ce que le visage apparaisse dans une silhouette et proposait de se l’envoyer par mail.
Pour cette nouvelle édition du Salon International de l’Auto et Accessoires de Genève, Culture Evénement s’est rendu sur place dans l’intention de vous montrer comment les grandes marques automobiles redoublent d’efforts pour toujours surprendre et attirer les visiteurs sur leur stand.
Constat sur place : pas d’innovations majeures mais une bonne réutilisation des vieilles recettes qui fonctionnent.
Culture Evénement a décidé de dédier ce premier post aux animations photos mises en place sur de nombreux stands.
Constat sur place : pas d’innovations majeures mais une bonne réutilisation des vieilles recettes qui fonctionnent.
Culture Evénement a décidé de dédier ce premier post aux animations photos mises en place sur de nombreux stands.
Notre coup de cœur va au stand de Mini qui proposait au visiteur d’ « être une star parmi les stars ».
L’animation était composée d’une part de tablettes incrustées dans l’habillage du stand devant lesquelles étaient disposés des sièges pour inciter à s’assoir.
L’animation était composée d’une part de tablettes incrustées dans l’habillage du stand devant lesquelles étaient disposés des sièges pour inciter à s’assoir.
L’application proposait de constituer une planche de photos composée de 4 clichés différents (type photomaton).
Une fois les photos générées, il était possible de se les envoyer par mail et/ou d’apparaitre sur un mur d’écrans au milieu de tous les autres portraits.
Le fonctionnement était très simple mais le rendu graphique très réussi comme à son habitude pour Mini.
Une autre animation photo sur le stand de Hyundai a attiré notre attention. La photo était prise encore une fois via une tablette. Le visiteur pouvait décider de l’incruster dans un cadre polaroid, dans un panneau d’affichage d’une grande métropole ou dans la une d’un journal. Là encore, il était possible de s’envoyer la photo par mail, de la retrouver sur la page Facebook du stand de la marque et d’apparaitre sur un grand écran qui reprenait en diaporama toutes les photos prises.
Une autre animation photo sur le stand de Hyundai a attiré notre attention. La photo était prise encore une fois via une tablette. Le visiteur pouvait décider de l’incruster dans un cadre polaroid, dans un panneau d’affichage d’une grande métropole ou dans la une d’un journal. Là encore, il était possible de s’envoyer la photo par mail, de la retrouver sur la page Facebook du stand de la marque et d’apparaitre sur un grand écran qui reprenait en diaporama toutes les photos prises.
Toyota aussi avait entre autres misé sur une animation photo présentée sur une « grande borne d’arcade » créée spécialement pour l’occasion afin d’attirer le chaland sur son stand.
Sur cette borne plusieurs animations étaient disponibles :
- Animation de composition musicale, le visiteur pouvait créer ses propres mix,
- Animation de coloriage de voiture par le biais de sprays,
- Animation d’habillage d’un arbre de fleurs, de feuilles et de fruits pour bien montrer l’engagement écologique de Toyota
- Et animation photo qui via un traitement d’image permettait de donner un effet « pop art » en y ajoutant des couleurs très vives et un traité crayonné. Le visiteur pouvait repartir avec sa photo comme goodie.
Sur le stand Seat, une hôtesse abordait les visiteurs pour leur proposer de se prendre en photo avec une tablette. Il avait le choix entre 2 décors selon qu’il s’agissait d’un homme ou d’une femme. L’hôtesse cadrait la photo de sorte à ce que le visage apparaisse dans une silhouette et proposait de se l’envoyer par mail.
Ars Electronica 2012 – Epilogue : un festival d’idées pour l’événementiel
Nous voici donc arrivés à la fin de notre tour d’horizon du festival Ars Electronica de Linz (Autriche). Cette année encore, nous avons décidé de partir pour vous à la recherche de nouvelles inspirations pour des animations événementielles. Nous avons déniché de belles réalisations qui sont à même d’inspirer tous les chefs de projet! Nous vous parlerons donc pêle-mêle de « brain painting », du « Zeitraum », des petits « myBOTs », et d’une photo panoramique impressionnante.
D’abord nous devons souligner l’implication de la ville autour de ce projet : elle respire entièrement au rythme du festival et tout le monde est impliqué à son niveau.
Il ne faut pas voir ce festival comme un salon des innovations digitales mais plutôt comme un laboratoire, un véritable « think tank » dédié à l’émergence d’idées originales. Les projets qui nous ont été présentés sont l’aboutissement d’un long travail de la part de leurs créateurs, et reflètent bien l’état d’esprit du centre Ars Electronica dans lequel des cerveaux venus du monde entier s’agitent toute l’année à la recherche de nouvelles façons de comprendre ou de façonner le monde qui nous entoure (réel ou virtuel).
Si certains projets sont fermement attachés à un objectif concret, comme le clavier virtuel contrôlé par le mouvement des yeux ou l’interface permettant de peindre uniquement en y pensant (le brain painting !), d’autres sont carrément farfelus et ont une dimension plutôt artistique voire poétique.
Ci-dessous trois photos illustrant des projets intéressants. Sur la première, une mosaïque composée de 8 écrans diffuse une modélisation de textes représentant la diversité des cultures et des langues dans le monde, animée de façon à représenter des reliefs géographiques. Cette animation (le « Zeitraum ») est visible à l’aéroport international de Vienne.
Pour le projet suivant (« myBOT »), chacun pouvait concevoir un petit robot à son effigie. La première étape consistait à prendre plusieurs portraits de soi avec diverses expressions, puis de les charger dans un petit programme de stop-motion. Puis on pouvait sélectionner un corps pour le robot avec plusieurs options disponibles, et enfin décider de son caractère (drôle, sérieux, décalé, etc…). Le résultat final était donc un robot personnalisé, créé facilement et dans la bonne humeur !
Enfin un très beau projet de vue panoramique de Linz, constitué de plus de 300 photos prises de 15 grands angles différents avec une résolution allant jusqu’à 130 000 x 40 000 pixels chacun, le tout projeté sur un écran à 160 degrés. Un logiciel spécifique assurait la fluidité des raccords entre les images, certaines d’entre elles pesant jusqu’à 20 gigas ! Le résultat final était d’une netteté rare et offrait une qualité de détails impressionnante. Les participants pouvaient changer de point de vue et se déplacer librement sur le panorama grâce à un écran tactile mis à leur disposition.
D’autres projets encore sont le fruit du travail d’activistes convaincus du numérique, qui aspirent à nous faire comprendre les aspects les plus sujets à polémique du fonctionnement des acteurs majeurs d’internet.
Certains nous ont surpris ou amusés, d’autres nous ont donné à réfléchir, ce qui est certain c’est que nous repartons avec de nouvelles idées pour concevoir des animations qui vous permettront d’envisager des opérations événementielles toujours plus stimulantes pour vos participants.
Rendez-vous l’année prochaine pour Ars Electronica 2013 !
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire