Maserati Milia
Menu sportif en perspective
Avec leur gabarit et leur poids de grande berline, les GranCabrio et GranTurismo n'ont pas fait l'unanimité. Maserati prévoit donc de lancer des sportives plus légères.
Avec un brin de mauvaise foi, on pourrait affirmer que la plus sportive des Maserati arbore un logo Alfa Roméo sur le capot. C'est en effet dans une usine du Trident que le Trèfle fabrique sa nouvelle 4C , un coupé poids plume en carbone, à moteur central arrière. Une fiche technique alléchante, qui donne des idées aux responsables de Maserati. D'après nos sources, ils envisagent en effet d'utiliser cette base pour l'un des futurs modèles de la marque, en remplaçant le "gentil" quatre-cylindres de 240 ch par un V6 Turbo nettement plus méchant, développé avec Ferrari. La puissance ferait évidemment un bond en avant, et la Lotus Elise ne serait plus la cible : les Porsche 911 , Jaguar F-Type ou Chevrolet Corvette figureraient davantage dans le collimateur. Par la même occasion, le prix s'approcherait de la barre des 100.000 €.
Réservée à deux passagers, cette hédoniste pour égoïstes se déclinerait en coupé comme en roadster, et pourrait prendre le nom de Milia, protégé par la marque. Mais le retour d'une appellation déjà employée par la firme est également envisageable, comme l'a rappelé récemment la berlineGhibli . Une quatre-portes qui permet par ailleurs d'envisager une autre hypothèse pour les sportives du Trident. A la place de la 4C (ci-contre), voire en complément, elle pourrait en effet prêter ses soubassements. Le moteur serait alors installé à l'avant, et quatre personnes pourraient prendre place à bord. On se situerait ainsi davantage dans la continuité des GranTurismo et GranCabrio actuelles, à l'esprit grand tourisme affirmé. Les Jaguar XK , BMW Série 6 et les versions haute de la Mercedes Classe E Coupé seraient du même coup ciblées. Reste à patienter pour savoir quel choix sera opéré par Maserati, qui devrait trancher la question d'ici à 2015.
Avec leur gabarit et leur poids de grande berline, les GranCabrio et GranTurismo n'ont pas fait l'unanimité. Maserati prévoit donc de lancer des sportives plus légères.

Avec un brin de mauvaise foi, on pourrait affirmer que la plus sportive des Maserati arbore un logo Alfa Roméo sur le capot. C'est en effet dans une usine du Trident que le Trèfle fabrique sa nouvelle 4C , un coupé poids plume en carbone, à moteur central arrière. Une fiche technique alléchante, qui donne des idées aux responsables de Maserati. D'après nos sources, ils envisagent en effet d'utiliser cette base pour l'un des futurs modèles de la marque, en remplaçant le "gentil" quatre-cylindres de 240 ch par un V6 Turbo nettement plus méchant, développé avec Ferrari. La puissance ferait évidemment un bond en avant, et la Lotus Elise ne serait plus la cible : les Porsche 911 , Jaguar F-Type ou Chevrolet Corvette figureraient davantage dans le collimateur. Par la même occasion, le prix s'approcherait de la barre des 100.000 €.

Réservée à deux passagers, cette hédoniste pour égoïstes se déclinerait en coupé comme en roadster, et pourrait prendre le nom de Milia, protégé par la marque. Mais le retour d'une appellation déjà employée par la firme est également envisageable, comme l'a rappelé récemment la berlineGhibli . Une quatre-portes qui permet par ailleurs d'envisager une autre hypothèse pour les sportives du Trident. A la place de la 4C (ci-contre), voire en complément, elle pourrait en effet prêter ses soubassements. Le moteur serait alors installé à l'avant, et quatre personnes pourraient prendre place à bord. On se situerait ainsi davantage dans la continuité des GranTurismo et GranCabrio actuelles, à l'esprit grand tourisme affirmé. Les Jaguar XK , BMW Série 6 et les versions haute de la Mercedes Classe E Coupé seraient du même coup ciblées. Reste à patienter pour savoir quel choix sera opéré par Maserati, qui devrait trancher la question d'ici à 2015.

Mini 2014
Fini le treillis
Quand la prochaine Mini décide de prendre la fuite, elle fait les choses en grand. Plusieurs clichés permettent aujourd'hui de la découvrir sans camouflage. Ils confirment que l'évolution stylistique sera légère, même si elle risque de prêter à controverse.
Dans le groupe BMW, la maison-mère n'est pas la seule à être victime de fuites lors de séances photo. Après les Série 2 et Série 4 frappées de l'Hélice, la prochaine Mini vient de subir la même mésaventure grâce aux espions du site Carscoops . Alors que sa présentation ne devait avoir lieu qu'en fin d'année, ses lignes n'ont donc plus aucun secret. Si l'air de famille avec les précédentes générations saute aux yeux, on note quelques changements de taille. À commencer par un porte-à-faux avant plus imposant, qui va à l'encontre des gènes du modèle : c'est la fin du leitmotiv "une roue dans chaque coin" longtemps vanté par la marque. Une épaisse barre apparaît par ailleurs dans la calandre, alors que le pavillon semble plus fuyant.
Quant aux phares ronds et aux feux arrière, à défaut de bouleverser leur aspect, ils s'agrandissent encore, tout comme l'emplacement de plaque d'immatriculation. Côté look, la Mini berline roule donc dans les traces desCountryman et Paceman . Mais elle aura l'honneur d'étrenner des motorisations inédites, promises à un bel avenir dans le groupe BMW. En essence comme en diesel, la majorité de la gamme sera en effet composée de trois-cylindres 1.5 Turbo à injection directe. Seule exception notable, la sportive Cooper S devrait recevoir un quatre-cylindres 2.0, dépassant amplement les 200 ch. Tout en conservant son entrée d'air de capot factice et sa double sortie d'échappement centrale, déjà visibles sur ces premières images.



Future Porsche 911 GT3 RS ou GT2
Le doute est permis
Des ouïes latérales de version Turbo, une double sortie d'échappement centrale et un aileron qui font plutôt penser à une GT3... le dernier prototype de 911 découvert par nos espions entretient le mystère. Mais une chose est sûre : il annonce l'arrivée d'une variante extrême.
Joueurs, les ingénieurs Porsche aiment brouiller les pistes et compliquer la vie des journalistes. Le dernier prototype surpris par nos photographes en atteste. Ouïes latérales, élargisseurs d'aile, aileron XXL... pas de doute, c'est bien une 911 très musclée qui se prépare. D'après nos espions, il s'agirait même de la future GT2, la version la plus puissante de la gamme. Typiques des variantes suralimentées, les prises d'air implantées près des ailes arrière plaident pour cette hypothèse. Mais en l'absence d'images plus détaillées, impossible de savoir avec certitude si elles sont réelles... ou factices : Porsche avait déjà employé ce stratagème pour préparer les "placides" déclinaisons Carrera de la 911 actuelle, en les faisant passer pour des Turbo . Ici, plusieurs éléments laissent penser que nous serions plutôt en présence de la prochaine GT3 RS.
La double sortie d’échappement centrale est d’ordinaire l’apanage des 911 à respiration naturelle, tout comme l’aileron dépourvu d’orifices. Le bouclier avant semble également repris d’une GT3 "classique". Enfin, les GT2 ont pris l’habitude de figurer parmi les dernières versions commercialisées avant un restylage ou un changement de génération. Mais la perspective qu’il s’agisse d’une GT3 RS n’a pas de quoi décevoir. Si cette variante sera loin de dépasser la barre des 600 ch, contrairement à sa grande sœur suralimentée, elle devrait rester la préférée des pistards. Elle reprendra en effet la boîte à double embrayage PDK et les quatre roues directrices de la GT3 classique, tout en rajoutant un peu de piment supplémentaire à la recette. Toujours aussi avide de hauts régimes, son flat-six 3.8 atmosphérique devrait passer de 475 à 490 ch environ, alors que quelques kilos disparaîtront. Des voies élargies, une suspension optimisée et une aérodynamique encore plus poussée continueront par ailleurs à rehausser l’efficacité.



Lexus NX
Attaque par le bas
En Europe, le RX est le seul représentant de Lexus sur le vaste segment des SUV. Mais la marque japonaise ne veut plus regarder passer le train des 4x4 compacts : elle prépare un modèle plus petit pour 2014.
Depuis l'arrivée de la compacte CT, le SUV RX n'est plus le best-seller de Lexus en France. Mais l'an passé, il a encore représenté 40 % des ventes de la marque sur notre marché. Pas mal, sachant que les 4x4 les plus populaires affichent aujourd'hui un format bien plus compact que ce modèle, long de 4,77 m. Pour séduire un public plus large, la griffe luxueuse de Toyota va donc lui donner un petit frère. Présenté au dernier salon de Los Angeles , le RAV4 servira de base à cette nouveauté. La longueur s'établira donc aux alentours de 4,50 m. Mais la carrosserie ne se résumera pas à un simple copier-coller. Pour ce SUV compact, qui pourrait être baptisé NX et qui sera présenté sous forme d'étude au prochain salon de Francfort , Lexus ne reprendra donc pas la formule des grands GX et LX, simples clones des Land Cruiser et Land Cruiser V8 vendus aux Etats-Unis.
À l'extérieur, le look fera davantage penser à un petit RX , en particulier de profil, même si le mulet immortalisé par nos photographes se cache encore sous une coque de la compacte CT . Le visage, lui, reprendra de nombreux éléments à la GS et à la nouvelle IS , comme la grande calandre en deux parties et les phares soulignés de diodes. Une parenté qui devrait s'étendre à l'habitacle, beaucoup plus cossu que sur le cousin badgé Toyota. En revanche, la plate-forme commune imposera quelques compromis. En particulier pour la version hybride, qui ne recevra plus de train arrière électrique, contrairement au RX 450h quatre roues motrices. Le V6 sera également chassé du compartiment moteur. À la place, cette Lexus NX fera confiance à des quatre-cylindres turbo essence à injection directe, plus sobres tout en restant plutôt performants.



Restylage Skoda Yeti
En attendant les renforts
Dans la jungle des SUV, le Yeti ne sera bientôt plus le seul représentant Skoda. Mais avant qu'il soit épaulé par deux autres baroudeurs tchèques, un petit lifting viendra l'aider à poursuivre sa belle carrière.
Depuis 2009, apercevoir un Yeti dans la rue n'est plus inhabituel. Dans ses meilleures années, le SUV Skoda a trouvé près de 100.000 acheteurs en Europe. Un succès qu'il compte bien faire perdurer, en suivant une cure de chirurgie esthétique. Plutôt légère, l'intervention est prévue pour cet automne, à l'occasion du salon de Francfort . Elle se concentrera surtout sur le visage, en cherchant à accentuer la parenté avec les dernières nouveautés maison, comme la Rapid et l' Octavia 3 . Si le Yeti conservera ces deux antibrouillards ronds caractéristiques (cf modèle actuel, ci-dessous), il adoptera donc des phares plus anguleux, étirés jusqu'à la calandre. Par ailleurs, le logo du constructeur prendra place dans une échancrure du capot, et non plus sur une barrette chromée, alors que les boucliers et les feux arrière seront également retouchés.
Sans être transfiguré, l'habitacle profitera de systèmes multimédia modernisés. Quant aux mécaniques, elles abaisseront leurs consommations grâce à un Stop & Start généralisé, tout en se mettant progressivement en conformité avec la norme antipollution Euro 6. Ce n'est cependant pas tout. Ambitieux, le Yeti se prépare aussi à investir la Chine, dans une version allongée de 6 cm environ. Insuffisant pour proposer sept places : cette caractéristique devrait être l'apanage d'un futur grand frère, qui pourrait prendre l'appellation de Smoov . Mais Skoda veut aussi attaquer le segment des SUV par le bas, avec un modèle plus proche de la barre des 4 m, qui pourrait s'appeler Polar .
